Les chroniques d'une vierge (6) - Histoires de Sexe

Les chroniques d'une vierge (6)

... C’est juste un peu gênant.

— Oui et tu as aimé te déshabiller devant Lara aussi.

— J’avou...

— Coquine, dit-il avec un sourire en coin. Tu sais que j’aimerais ? Que tu en montres un peu plus pour quand la serveuse reviendra débarrasser la table. Vas-y, baisse encore ton décolleté.

— Tu veux qu’on voit plus mon soutien-gorge ou mes seins ?

— Les deux me font sortir un peu plus tes seins de leurs bonnets. Voilà, sors-les de leurs cachettes.

Je descends le col pour que l’on voit la dentelle de ma lingerie et je fais sortir un peu mes seins du soutien-gorge.

— Encore, encore.

Je m’exécute et les fais sortir jusqu’à la lisière de mes aréoles. Un peu plus et on verrait mes mamelons. Je vois un sourire s’imprimer sur le visage de mon amoureux. C’est vraiment parce que c’est son anniversaire que je fais ça, car j’ai vraiment l’air d’une traînée comme ça.

— Non, je ressemble à une vraie pute, dis-je avant de me couvrir un peu.

— Non, pas du tout, répond-il en m’arrêtant, tu es magnifique. N’importe qui peut le confirmer, t’es pas vulgaire du tout.

— T’es sûr, je demande en regardant autour de moi si les gens ont remarqué, mais ils continuent tous de manger et discuter.

— Mais oui, je vois aucune pute ici. Je t’aime mon cœur.

— Je t’aime.

Puis la serveuse arrive pour nous débarrasser. Ses yeux s’ouvrent grand quand elle remarque ma poitrine qui lui est presque dévoilée. Je suis tellement honteuse à ce moment. Que pense-t-elle de moi ? Je ...

... n’ose même pas la regarder dans les yeux (et elle non plus).

— Vous prendrez un dessert ?

Je laisse Jacob répondre, car il est mon invité.

— Oui, une part de gâteau au chocolat à partager s’il vous plaît.

— Je vous apporte ça tout de suite.

— Waouh, cette fois, elle t’a vraiment maté la cochonne.

— Elle m’a prise pour une salope, oui.

— Mais non, elle a aimé. Je l’ai vu dans son regard. Je suis sûre que les siens pointent sous son uniforme et qu’elle y pensera toute la soirée.

Cette idée ne me déplaît pas. Être admirée par une femme est plutôt excitant.

Quand la serveuse revient nous apporter notre dessert, je sens qu’elle m’évite du regard, car elle ne peut poser son regard sur autre chose que mes seins exposés à sa vue. Jacob et moi mangeons notre dessert comme des amoureux. Il me donne une bouchère et je fais de même.

— Je suis sûre que ça te fait mouiller de te montrer comme ça à une femme.

Je ne réponds pas, car je sais qu’il a raison. Puis il glisse une main sous la table et vient toucher mon sous-vêtement pour vérifier. Je serre les cuisses aussitôt.

— Jacob ! Arrête, tu peux pas faire ça ici !

— Tu avais juste à avouer que tu mouilles.

Jacob porte ses doigts à son nez.

— Humm... Tu sens bon.

— Jacob, arrête, on va nous voir.

— Et alors ? Ta poitrine attirera leur attention et ils remarqueront rien.

À la fin du repas, la serveuse revient nous apporter la facture. Quand je lui dis que la facture est pour moi, elle est ...