1. Admission


    Datte: 10/10/2021, Catégories: fff, gymnastiqu, Voyeur / Exhib / Nudisme caresses, intermast, lesbos, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... Alexandra.
    
    Michèle se crispe légèrement en entendant ces mots, mais manifeste encore son assentiment.
    
    Alexandra la conduit vers les agrès avant de s’éclipser un moment dans le bureau. Christiane et moi nous installons avec Kristel dans un canapé, les trois autres dans le second. Michèle est debout sous la barre fixe. Elle est calme et sereine. Je sais pourtant qu’elle redoute ce qui va suivre. Ses qualités de gymnaste sont médiocres, et son goût pour la douleur est très modéré. Je suis d’autant plus touchée par son tact à l’égard de notre nouvelle amie.
    
    L’intermède se prolongeant, Michèle, encore moite de sueur, risque d’avoir froid malgré la chaleur ambiante. Liliane va prendre une serviette de bain et la pose sur ses épaules avec une bise d’encouragement. Kristel est lovée entre Christiane et moi, répondant un peu distraitement à nos caresses. Je la sens à la fois intriguée et hésitante. J’attends ses questions, mais Christiane est plus directe.
    
    — À quoi penses-tu mon cœur ?
    — Je n’ai pas compris. Ça veut dire quoi « cochon heureux » et « poirier lumineux » ?
    — Tu sais ce qu’on appelle le « cochon pendu », en gym ? C’est presque pareil : tu te laisses pendre par une jambe à la barre fixe, et une amie te masturbe jusqu’à l’orgasme.
    — Hum ! OK, Christiane, je vois. Pas mal comme gage, finalement ! Et l’autre, Annette ?
    — Moins agréable pour Michèle, je pense. La position du poirier, tu connais. « Lumineux », parce que tu dois garder les jambes écartées avec ...
    ... une bougie allumée dans ta chatte.
    — Hou lala ! Mais la cire qui coule, ça doit faire mal si elle tombe sur les lèvres !
    — Sinon, ce ne serait pas un gage. Mais être contrainte à jouir en devant rester accrochée à la barre tête en bas, n’est pas très agréable non plus.
    — Mais le premier était pire, alors ?
    
    Le retour d’Alexandra me dispense de répondre.
    
    — Excuse-moi Michèle, je ne retrouvais plus la crème anticellulite, sourit-elle en posant près d’elle le pot ainsi qu’une bougie et un briquet.
    
    Michèle empoigne la barre fixe et essaie de se retourner pour passer une jambe par-dessus. Malgré la faible hauteur, elle s’y reprend en vain à plusieurs fois, sans qu’Alexandra ne fasse un geste. C’est la règle du jeu, bien sûr, mais cette apparente impassibilité est révélatrice de sa nouvelle confiance en soi. Néanmoins, en amies attentionnées, nous nous retrouvons toutes autour de Michèle pour l’assister.
    
    Christine la soutient par le buste pendant que Liliane guide sa jambe gauche et l’aide à la replier autour de la barre. Toutes les deux la maintiennent par la taille pour qu’elle lâche la barre et se laisse pendre, bras ballants, la jambe droite tendue à l’oblique. Lorsqu’elles la quittent, Michèle grimace, tout son poids portant sur l’articulation du genou. Par prudence, Liliane et Christine restent à ses côtés pour lui permettre de s’alléger en se retenant sur elles.
    
    Michèle est plus à l’aise, même si elle reste crispée par ses efforts, un sourire résigné aux ...
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