1. Véronique : mes deux amours (1)


    Datte: 09/10/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Leamartin, Source: Xstory

    ... contraire. Cela nous a fait éclater de rire tous les deux, et je l’ai pris dans les bras pour le rassurer. Ne voulant pas que tout tombe à l’eau au dernier moment, j’ai glissé ma main entre ses cuisses pour le caresser à travers le pantalon.
    
    Je constatais qu’Eric n’avait rien perdu de sa vigueur puisque mes quelques caresses ont réussi à faire dresser son sexe comme je l’aime.
    
    Tout en continuant à l’embrasser, ma main agile déboutonna son pantalon pour libérer ce sexe que je connais si bien. Après quelques minutes de va-et-vient sur son membre brulant, Eric me glissa à l’oreille qu’il avait envie que je le suce. Même si cela nous mettrait en retard et pourrait inquiéter Olivier, je ne pouvais pas prendre le risque de ne pas satisfaire Eric et, assise en chien de fusil sur le siège conducteur, je me mis à lécher suavement Eric qui était déjà au bord de la jouissance après mon traitement manuel. Il a éjaculé en moi en moins d’une minute et j’avalais goulûment son sperme sucré, comme cela était l’habitude entre nous (chose que je pratiquais rarement avec Olivier). Eric, enfin détendu, me confirmait qu’il était prêt pour le week-end, ce qui me ravit au ...
    ... plus haut point. Je sentais le sperme de mon amant couler le long de ma gorge. Heureusement, j’ai toujours une bouteille d’eau et une boîte de chewing-gum dans ma voiture.
    
    Olivier ne se rendrait compte de rien en m’embrassant.
    
    Enfin arrivés à la maison, Olivier était dehors pour nous accueillir. Il ouvrit ma portière, et j’eus à peine le temps de lui expliquer que le train était en retard qu’il m’embrassait passionnément (vive le chewing-gum...). Faisant le tour de la voiture, et à ma grande surprise, il enlaça Eric :
    
    — Cela fait si longtemps mon ami. Je suis tellement heureux de te voir !
    
    — Moi aussi Eric, dit Olivier, légèrement décontenancé.
    
    — Oublions le passé, ne pensons qu’à l’avenir et à ce beau week-end qui nous attend. Viens avec moi, je vais te faire visiter la maison et ma cave à vins. J’ai préparé le repas. Véro, tu as le temps de te changer si tu en as envie.
    
    Pendant qu’ils partaient visiter la maison, je montais dans notre grande chambre mansardée sous les toits pour me changer. En ouvrant mon armoire, je tombais sur un mot écrit par Olivier : « j’ai préparé tes affaires, elles sont dans la salle de bains, et ne me déçois pas ». 
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