Aym-Rick (17) - Histoires de Sexe

Aym-Rick (17)

... possède des renforts, sur les cuisses, aux fesses et au niveau du sexe, dans une matière qui imite incroyablement le cuir. Je valide son look bad boy, c’est très excitant ! Je suis perturbé par la bosse qui est dessinée devant moi. Elle est clairement identifiable comme celle d’un sexe d’homme, et pas n’importe lequel. Son short marque totalement sa bite, et ce avec une grande précision. Elle ressort de manière magistrale. J’aperçois aisément le contour de son pénis et de ses deux grosses bourses. Instinctivement, je remarque qu’il ne porte pas de sous-vêtement en dessous. J’essaie de décentrer mon regard de son short. Je me mordille les lèvres.

- J’espère que tu t’es bien reposé ? dit-il ironiquement en me déshabillant du regard.

- Oh que oui ! Je déborde de vitalité ! réponds-je d’une voix fiévreuse.

- Impeccable ! Allez, passe devant moi ma gourgandine ! lâche-t-il d’un air empressé.

Je m’avance devant lui en tordant exagérément du cul. J’affiche un léger sourire aux lèvres. Je sens qu’il savoure ce délicieux spectacle. Il me surprend en me pelotant l’arrière-train lentement avec douceur sur le chemin qui mène à sa voiture. Waouuuh ! Le cabriolet BMW bleu métallisé a de la gueule, il est trop canon. J’adore. D’un coup, sa grosse main me claque le derche avec force. Je couine, ma queue se dresse, et laisse sortir du liquide pré-séminal à travers mon string que je tends d’autant plus en poussant mon cul en arrière d’excitation. Il me plaque violemment contre ...

... sa voiture. Il me bloque les bras derrière le dos, me maintient fermement en pesant de tout son poids contre moi. Je ne peux plus bouger, j’ai du mal à respirer. Il transpire d’excitation et fait rouler sa lance entre mes petites fesses. Mon Maître me glisse à l’oreille d’un sourire carnassier :

- On va s’arrêter là ! On reprendra les hostilités plus tard quand je l’aurai décidé. Tu vas devoir patienter encore un peu ma jolie. T’inquiète, je te réserve une belle surprise que tu n’es pas prêt d’oublier. Je ne te cache pas que tu vas devoir encaisser. Tu vas me supplier d’arrêter. Mais, je ne t’écouterai pas. Je vais tellement détruire ton anus ce soir qu’il ne se refermera pas de si tôt.

Je suis aussi dépité qu’excité. Mon Maître m’ensorcelle avec ses paroles salaces qui me font clairement comprendre que je vais prendre ultra-cher ce soir. Il se détache de moi d’un coup et va s’installer dans l’automobile. Je respire un grand coup, j’étire mes bras endoloris et le rejoins fissa côté passager sur le siège en cuir en prenant bien soin de mettre ma ceinture de sécurité. J’insère la boucle dans le verrou prévu, un déclic m’indique que la ceinture est bien verrouillée. Il démarre la voiture et roule sans m’adresser la parole. Pas de musique comme bruit de fond, rien du tout. J’engage la conversation pour rompre ce silence qui s’installe petit à petit entre nous.

- Puis-je savoir quel film va-t-on voir ?

- Tu auras ta réponse dans quelques minutes, encore un peu de ...