Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (16) - Histoires de Sexe

Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (16)

... toi le dernier homme sur cette planète. On aurait pas pu tomber mieux.

Elle m’embrassa une nouvelle fois et je lui rendis son baiser, heureux. Elle détacha ses lèvres quelques instants plus tard et sortit du lit. Elle remit rapidement ses vêtements et sortit de la pièce en disant :

— Repose-toi bien ! Demain va être une journée intense !

Lorsqu’elle claqua la porte, je ne pus m’empêcher de penser à quel point elle avait raison.

Je m’endormis sur mon lit et me réveillai quelques heures plus tard. Il était vingt heures passées. Des coups à la porte me tirèrent d’un sommeil sans rêves.

— Tennessee ? Je vais entrer !

C’était la voix de ma mère. Au moment où la poignée de la porte pivota, je me rendis compte que j’étais toujours nu comme un ver. J’avais complètement oublié de me rhabiller avant de faire mon petit somme.

Ma mère entra dans la pièce tandis que je tentai de cacher tant bien que mal mes parties intimes. En voyant la scène, elle rigola.

— Tu as oublié de te rhabiller après ton petit tour de manège avec Yana ?

— Maman ! Tu aurais pu me demander avant d’entrer !

— C’est ce que j’ai fait ! Ça fait cinq minutes que je toque à la porte sans obtenir une quelconque réponse ! Je voulais vérifier que tu allais bien.

Son regard descendit ostensiblement le long de mon corps jusqu’à atteindre mon entrejambe que mes mains peinaient à cacher.

— Belle pièce, fiston, ajouta-t-elle.

— Maman ! Regarde pas ! Me plaignis-je.

— Ça ne te dérange ...

... pas quand c’est ta sœur jumelle qui est à ma place ! Lâcha ma mère, malicieuse.

Comment savait-elle ? Mon cerveau entra soudain en ébullition pour tenter de trouver une réponse.

— Qqquooi ? Parvins-je à balbutier.

— Ne te fatigue pas à nier, Satyne, Judie et Zoé m’ont tout raconté il y a un bail. C’est ça qui m’a poussé à t’utiliser comme mâle reproducteur.

— Qu’est-ce que tu racontes ? Dis-je.

— Je te trouvais trop jeune pour assumer cette tâche. Mais, comme tu semblais bien t’en accommoder avec tes sœurs, je me suis dit que tu étais prêt.

Mon cerveau était au bord de l’explosion. Ma propre mère savait que j’avais fait l’amour avec mes sœurs et cela ne semblait pas la gêner.

— Tu sais qu’au final, je t’aurais quand même fait engrosser tes sœurs, expliqua ma mère. Tu m’as facilité la tâche, je ne vais pas avoir à te convaincre de tremper ton biscuit en elle.

— Ça ne te déranges pas ? Demandai-je, gêné d’avoir une telle conversation avec ma génitrice.

— L’inceste ? Écoute, ce qui m’importe plus que tout, c’est que la race humaine ne s’éteigne pas. Je suis prête à utiliser tous les moyens à ma disposition. Et puis, toi et Satyne êtes vraiment proches depuis votre naissance, je me doutais que ça allait arriver un jour ou l’autre.

— Ah, dis-je sans grande conviction.

— Tu peux baiser qui tu veux, ça ne le déranges pas du moment qu’il y a consentement des deux côtés. Et aussi, évite de faire l’amour avec trop de personnes différents le même jour, il ...