Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (16) - Histoires de Sexe

Seul Mâle Reproducteur Après La Fin Du Monde (16)

... longtemps avec ça !

Je repensai à la proposition de Lili. Pourquoi ne pas me laisser aller justement ? Quitte à perdre cette deuxième manche, autant en profiter un max.

J’embrassai Yana à pleine bouche tout en sentant ses cheveux flamboyants venir taquiner mes épaules. Quand je décollai enfin mes lèvres des siennes, elle rit.

— Tu t’avoues vaincu ? Demanda-t-elle.

— Pas du tout ! Ripostai-je.

Au moment où je terminai ma phrase, le premier jet de sperme jaillit. La rousse sourit de toutes ses dents et accéléra la cadence. Cinq autres jets atterrirent alors au fond de son vagin. Je m’effondrai en arrière lorsque ce fût terminé.

— On dirait qu’il y a égalité ! Ricana Yana.

Elle laissa sortir mon pénis de sa grotte d’amour. Je bandais toujours. C’était le moment d’achever Yana.

— Tu ne perds rien pour attendre ! Lâchai-je.

Je me redressai et saisis les cuisses de la rousse pour ramener son entrejambe à moi.

— Eeeh ! Qu’est-ce que tu fais ?! Se plaignit-elle. C’est pas du jeu ! J’ai pas eu le temps de me reposer !

— C’est le but, beauté !

Je la positionnai en levrette et insérai mon sexe en elle, la lubrification de mon sperme aidant grandement. Dans cette position, mon gland stimulait parfaitement son point G.

— Ta sœur Lili m’a aussi appris quelques trucs, ajoutai-je. Comme la manière de stimuler le point G. J’espère que tu es prête parce que tu vas monter au dix-neuvième ciel.

Yana ne put répondre car elle était trop occupée à gémir ...

... tout en se cramponnant aux draps. Tout en continuant mon va-et-vient, j’insérai mon pouce dans son petit trou, ce qui la fit crier de plus belle.

— J’ai hâte de visiter ce trou, la taquinai-je.

Mais elle ne m’écoutait plus. Elle semblait immobilisée dans une transe euphorique ponctuée de petits cris aigus. Heureusement que ma mère avait fait faire l’isolation phonique de ma chambre car, dans le cas contraire, toute la maisonnée aurait entendu les hurlements de ma partenaire. Je me demandai d’ailleurs comment ma génitrice avait fait pour expliquer ce chantier aux autres.

— Tenne… Tennessee.

Yana venait de balbutier mon nom.

— Qu’est-ce qu’il y a ? Demandai-je, inquiet.

— Je crois que je vais jouir…

— J’y compte bien, ma poulette.

Je la retournai sur le dos pour finir notre baise en missionnaire. J’enfonçai alors mon pénis encore plus profondément en elle. Yana se mit à trembler en haletant. Je l’embrassai alors que ses yeux roulaient en arrière. Elle ne poussa plus un cri pendant un long moment. Je la laissai savourer son orgasme tout en ralentissant mon va-et-vient.

Au bout de quelques instants, la rousse parut revenir à la réalité et me regarda dans les yeux.

— C’était intense, avoua-t-elle. Je n’avais jamais d’orgasme aussi fort, même avec un sextoy.

— Tu sais ce que ça signifie ?

— Oui, je sais. Je vais faire un lavement ce soir. Tu l’as bien mérité.

— On ira en douceur, ne t’inquiètes pas, promis-je.

— Je suis contente que ce soit ...