1. Travaux d'approche


    Datte: 04/10/2021, Catégories: jeunes, copains, vacances, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme pied, massage, nopéné, init, initiatiq, Auteur: Franckosaurus, Source: Revebebe

    ... youpi ! On a donc souvent dansé ensemble, les yeux dans les yeux, à jouer à s’allumer, avec des mouvements lascifs, parfois appuyés aux endroits où il ne faudrait pas. Je ne me dérangeais pas pour caresser discrètement ce si joli cul, et elle non plus avec le mien, avec ces regards effrontés genre « c’pas ma faute j’l’ais pas fait exprès, la vérité j’te jure ».
    
    Des fois elle flashait sur un mec, donc plus question d’interférer sur la soirée. Mais c’était de courtes histoires sans conclusions, je connais ma Fafa depuis toutes ces années, pas le genre à se faire chopper dans les chiottes, ni même après quatre ou cinq rendez-vous galants. Et les autres fois où ça pouvait « dégénérer », pas question d’aller plus loin avec Steph dans les parages (et en colloc). Mais quand même ça me faisait bien bien chier de la voir galocher et se frotter à d’autres mâles.
    
    Bonne année scolaire, réussie pour ma sœur et moi, parents satisfaits. L’été arriva, nous fêtâmes la réussite de la formation de la miss. Soirée « officielle » chez les parents, famille-amis, dont sa sœur aînée, « académiquement » plus jolie. Fabienne s’était métamorphosée en véritable avion de chasse : talons de 12, chignon et maquillage de pros, beaux bijoux et jolie robe noire moulante, une reine très jolie, radieuse. C’est à ce moment précis que j’ai décidé que ce serait elle, et pas une autre pour découvrir le sexe, voire plus si affinités. J’ai d’ailleurs profité de cette nuque découverte pour enserrer son cou en ...
    ... lui faisant ce beau bisou sur sa joue, appuyé de félicitations officielles.
    
    — Je suis fier de toi, obligé tu vas cartonner ma belle.
    — Ah bé merci, t’es un amour !
    
    … En me fixant ensuite un court instant, suspendu, l’air un peu paniqué, tellement sexy ; malheur j’en rêve parfois encore aujourd’hui. La soirée fut guindée-sympa, avec notamment une salsa très chouette devant tout le monde, avec la reine de la soirée, passablement et joliment éméchée. Mais bon, impossible de trouver un moment discret pour travailler la miss au corps. Même quand elle sortait s’en griller une dehors, il y avait toujours quelqu’un d’autre pour l’accompagner. Ni l’endroit ni le moment. Nous nous quittâmes donc, encore une fois, bons amis.
    
    Vinrent donc les vacances, mais pas pour moi, ni ma sœur, caissière en supermarché. J’avais trouvé, sur recommandation d’un ami de mon père, un chouette job de vendeur de carrelages dans un grand et magasin classe, avec un vieux patron italien taiseux et malin. Très vite je trouvais mes marques, déchargeant les collègues des clients à petites commandes. Un après-midi de la deuxième semaine, sa sœur aînée vint au magasin. Elle faisait construire avec son fiancé, et me demanda, à moi, un devis carreaux. Elle avait beau se comporter en sale conne arriviste (pour elle « négocier » signifiait « gratter »), faut avouer qu’elle était hyper bandante avec son petit nez retroussé, ses taches de rousseur, le tout dans son tailleur, ses escarpins et bijoux de petite ...
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