1. Le fantasme du néant (Camacam 2)


    Datte: 04/10/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: PerversionDistordue, Source: Hds

    ... l’improbabilité d’un érotisme infécond.
    
    Moi : Toutes mes excuses
    
    Moi : Très gracieuse
    
    Moi : Ça donne des pensées impures
    
    Elle commença à se caresser subversivement la courbure de ses nichons discrets assassinant le calme de ma bite. Elle restait là. Seul avec ce corps élancé. Délicieuse. M’incarcérant dans ce désir hors du temps. Et moi, je me laissais envahir par la démence de l’excitation.
    
    Moi : J’ai envie de me branler
    
    Le désir montait. Montait. Montait !! MONTAIT !!!! Je restais pris par l’obsession. Celle de jouir avec elle. De jouir sur son image. De violer la décence.
    
    Elle : Fais profite
    
    Moi : Trop belle
    
    J’étais là, commençant à me mettre en scène devant cet écran à l’impersonnalité factice. Laissant la violence du fantasme m’envahir. Laissant place à l’explosion de ma queue.
    
    La délicatesse d’une de ses mains frôla son ventre pour descendre libidineusement vers sa chatte. Avec l’autre, elle continua à peloter hypnotiquement la fermeté de nichons encore un peu juvéniles. Quelque part, à l’apogée de leur attractivité. Et moi, j’expose ma queue. Je lui impose mon désir. Je ne suis plus que cette bête désireuse violant cette intimité offerte.
    
    Moi : J’ai envie de te faire des choses
    
    Elle : Mhmm
    
    Moi : trop de chose
    
    Elle écarta ses cuisses et se soumit intégralement à ma perversion. ...
    ... M’offrit la perfection de sa chatte rasée que j’avais envie de subtilement défoncer. Envie d ’y fourrer sauvagement ma langue. D’être là pour la faire jouir. La faire jouir avec cette délicatesse bestiale. N’être qu’indécence
    
    Elle : je mouille
    
    Moi : à ce corps parfait
    
    Ses doigts s’enfoncent et moi, j’ai juste envie de la défoncer. D’y enfourner ma queue. Ma queue de vielle infirme dégueulasse. Je la sens à moi. D’y en fourrer ma queue comme elle y encastre ces dois. Un. Puis deux. Puis trois. Je me sens en elle. Nous ne sommes plus qu’une bite, une chatte et rien d’autre. Du cul ! Du cul à l‘état pur. Du cul sans passer ni future. Juste du cul !
    
    Moi : trop envie d’être ta main
    
    Moi : je vais cracher
    
    Elle est là, y allant de plus en plus fort. Comme pour accueillir ma purée avec entrain… Comme pour être ma pute jusqu’à que je crache
    
    Elle : hmmm
    
    Moi : merci
    
    Moi : trop sublime
    
    Elle : merci c'est gentil
    
    Elle : je te souhaite une bonne soirée
    
    Moi : à toi aussi
    
    Moi : et à bientôt
    
    Il y a finalement un aspect un peu étrange dans ces mots. Comme s’ils ne pouvaient pas réellement m’appartenir. Comme s’il y avait quelque chose d’impossible. D’irréel dans le désir féminin ne faisait partie de ce monde. Comme s’il ne pouvait pas faire partie de mon monde… Je ne sais pas si je continuerais à y croire 
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