1. Reconstitution historique


    Datte: 03/10/2021, Catégories: fh, hplusag, hagé, couple, forêt, campagne, froid, toilettes, douche, 69, fsodo, historique, Humour sorcelleri, Auteur: Diable Mouret, Source: Revebebe

    ... en main (ce qui, pour une main, est bien la moindre des choses).
    
    Elle me massa délicatement les testicules dans la pénombre, repère, dans l’obscurité, les positions de mes différents appendices et joue avec.
    
    La nature étant ce qu’elle est, je commençai à bander presque sans m’en apercevoir et ce fut lorsque je sentis que c'était maintenant ses lèvres qui jouaient avec mon gland que je réalisai pleinement où nous en étions. Ce n’était pas une de ces fellations de compétition, une de ces « gorges profondes » auxquelles se livrent ces actrices du X majuscule qui semblent avoir des diplômes d’avaleuses de sabres. Non : c’était un petit festival de léchouilles et suçotements, tout en délicatesses, mais d’une efficacité diabolique.
    
    Je mis donc mon « membrum » au garde à vous, avec présentation des armes et baïonnette au canon. Mais je commençai à trouver que cette situation était quand même un peu trop machiste pour deux adultes responsables comme nous. Je risquai une petite remarque sur le fait que cet épisode ne figure pas dans la déposition en latin.
    
    La réponse fut claire :
    
    — Oui, mais j’ai envie ! me répondit-elle avant de glisser entre deux activités buccales une petite phrase où il est question de notre « equitabat » et du fait que, pour un bon cavalier, le risque de voir sa monture prendre le mors aux dents ne devrait pas être trop grand.
    
    Le temps de trouver un recoin pour poser la lampe et me voici, à mon tour, à genoux devant ma belle qui est toujours ...
    ... sur son trône d’aisance. Mes lèvres, à leur tour, entamèrent un chapitre de « léchouilles et suçotements ». Je léchouillais les mamelons, je suçotais les tétons et, dans la pénombre qui me privait de la vue, je fis appel à mon ouïe pour suivre l’évolution de l’excitation de Béalaure.
    
    Lorsque, collégien, je peinais sur les versions latines, une amie de ma mère, bigote invétérée, avait voulu « m’aider » en me faisant apprendre les prières en latin que le concile Vatican II venait de remiser au rayon des vieilleries. Une de ses phrases favorites était « Comme on connaît ses saints, on les honore ».
    
    Moi, je connais les seins de Béalaure et c’est à genoux que je les honore.
    
    Au bout d’un moment, elle me repoussa, me culbuta sur le tapis qui sert de sortie de bain, au pied de la baignoire, puis elle se leva et vint se positionner au-dessus de moi. En bonne habitante du département du Rhône, elle sait que son numéro minéralogique est le 69 et elle vint s’accroupir au-dessus de ma tête et se courba pour reprendre en bouche mon « membrum » qui n’avait eu ni le temps ni l’envie de ramollir.
    
    Comme il y a toujours aussi peu de lumière pour utiliser le sens de la vue, nous suppléâmes à ce manque par l’usage de l’ouïe, de l’odorat, du goût et du toucher.
    
    C’est juste après que j’ai délivré ma semence que j’ai senti les contractions de Béalaure et que ses sécrétions m’ont abreuvé. Elle s’est alors penchée un peu plus pour m’embrasser l’anus en annonçant :
    
    — Anum bucca sua ...
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