Jalousies - Histoires de Sexe

Jalousies

... faut que je le lui dise :

— Ma Fafa, je crois que j’ai battu un record ce soir.
— Celui du parfait connard ? Eh bé, j’avais remarqué. Dès le début, hein.
— Et tu m’as laissé faire ?
— Bah oui, je voulais voir jusqu’où t’étais capable d’aller, tu m’as pas déçue, c’est impressionnant comment tu t’enfonces dans ta propre bêtise, hi hi !
— Tu m’as joué la comédie toute la soirée alors ?
— Oui. Tu méritais une bonne leçon.
— Mais tout à l’heure contre le platane… aussi c’était la comédie ?
— (Elle lève les yeux au ciel), bouuudu c’est pas gagné !
— Oh et puis merde. Oui, je l’avoue, Madame la Présidente, je suis désolé, je te présente mes excuses. Je suis un couillon, mais un couillon honnête au moins.
— C’est ça qui me plaît chez toi. Et t’es un vrai gentil. Tu sais, j’aurais pas donné mon cul à n’importe qui.
— Tiens, à propos – hahaha –, je vais te donner le numéro de Marie-France, j’aimerais beaucoup que vous parliez de tout ça toutes les deux. Je te sens un poil jalouse.
— C’est normal : elle est vraiment super, et je la trouve super mignonne.
— C’est vrai, ET toi aussi, tu l’es aussi. J’ai énormément de chance.
— Qui tu préfères ?
— Pff, c’te question débile. On compare pas une Porsche avec une Ferrari.
— Elle, c’est plus une Austin Mini …
— Une Cooper alors !
— C’est quoi ?
— La version voiture de course de la Mini : adorable, légère, agile, super nerveuse, et… vintage !
— Et moi ?
— Une Ferrari 348, un peu celle de Magnum, mais actuelle. Toute en ...

... courbes, mais virile, relativement puissante, mais suffisamment confortable, ardente comme la braise, et le son du V8, comme toi.
— C’est chou.

Je la regarde, elle sourit à la vitre d’un air satisfait, revanchard, avec une moue pas sexy du tout, je ne l’ai jamais vu faire ça. Arrivés chez elle, on sort ; devant son portail on s’embrasse, mais c’est pas un bisou d’au revoir, c’est une grosse galoche, bizarre parce qu’elle garde tout le temps ses yeux ouverts.

Direct je dénoue son cache-cœur, pour caresser sa poitrine. Trop envie de peloter ses fesses, je les mets à nu et j’écarte son cul dans la rue, elle frissonne et sourit, sûre de ses atours.

Je sens qu’elle joue à la salope, sa bouche est ouverte machinalement, sa langue sortie lèche la mienne et elle roule des hanches comme une mauvaise actrice de film de cul. C’est à la fois excitant et inquiétant cette comédie. Elle s’accroupit et sort mon attirail, et commence à me sucer très fort. Elle n’est pas contente, car je ne me suis pas rasé. Comme d’habitude elle se masturbe, et innove en jouant avec ma queue sur ses tétons, en me regardant de cet air un peu absent. C’est plus mécanique qu’inspiré.

C’est une impasse de lotissement, peu de risque d’être surpris, alors je la relève, retrousse sa jupe, et la prends directement par-derrière, contre la Twingo de ma mère. Elle est quand même bien mouillée, ça glisse bien, c’est chaud et serré. Je pelote sa poitrine, et embrasse ses oreilles, elle souffle fort. Elle se ...