Jeux de plage - Histoires de Sexe

Jeux de plage

... sable partout.

Remarque judicieuse. Tartinée de gras telle que je suis, c’est un peeling plus qu’un massage qui s’ensuivrait. Je la soutiens, par précaution :

— Brigitte a raison, crié-je aux pétulantes cadettes. Séchez-vous loin de nous ! Ensuite, vous mettrez de la crème.

Elles obéissent, je ne me savais pas si persuasive. Ma soubrette improvisée termine d’enduire ma cuisse droite, je lui présente la gauche dans une pose symétrique. Elle s’y consacre sans autre hésitation, pendant que je surveille les deux chipies du coin de l’œil. Le séchage va bon train.

— Voilà, c’est fini, annonce Brigitte. Ça a quand même coulé un peu sur ta… entre tes cuisses.
— Hé bien, ma chatte sera protégée du soleil ! Tu n’auras pas à le faire, en conclus-je.
— Ben… non, c’est vrai, admet-elle.

Ai-je détecté un certain regret dans cette réponse ? En tout cas, la proposition qui la suit m’inclinerait à le croire.

— Tu veux que je te passe de la crème devant, Marraine ?
— Il faudra en mettre, c’est sûr. Mais j’aimerais que ta sœur et Marion n’attendent pas trop, après s’être essuyées. Viens, dis-je en me levant, on va s’occuper d’elles.

J’ai ma petite idée pour accélérer la procédure, une idée qui devrait les amuser en faisant un jeu gentiment sensuel d’une nécessité parfois fastidieuse. Elles sont déjà étendues, à se faire dorer étourdiment côte à côte en bavardant. Leurs jambes pudiquement serrées trahissent la gêne qu’elles éprouvent encore, à se montrer nues à qui ...

... passera à proximité. Il n’y a pas grand monde autour de nous, pourtant !

Je leur montre le flacon d’ambre solaire et j’insiste pour qu’elles daignent se mettre debout. Mes gestes éloquents d’une main mimant l’étalement de la protection sur le corps, poitrine, fesses et minette comprises, les dérident et les décident à venir devant moi.

— Bon, d’accord Marraine, concède Sandra en tendant la main. Donne-le-moi, on va s’en mettre, de ce truc…
— Vous comptez le faire l’une pour l’autre, je suppose ?
— Ben voui ! C’est plus amusant !
— J’aimerais autant éviter le gaspillage, tu vois ? Vous êtes bien capables de terminer en vous arrosant à qui mieux mieux… J’ai un moyen plus économique et rapide à vous proposer.

Elles m’interrogent du regard, mi-déçues, mi-intéressées, une lueur de curiosité coquine dans les yeux. Brigitte aussi se pose des questions. Elle sait parfaitement que nous ne sommes pas à court de produit.

— Mettez-vous face à face, reprends-je, et prenez-vous par les bras… Oui, comme ça, mais rapprochez-vous un peu plus.
— Jusqu’à ce qu’on se touche, s’enquiert Marion, c’est ce que tu veux dire ?
— Que vous soyez très proches, oui, mais sans vous coller l’une à l’autre, juste vous frôler.

Elles rient quand leurs tétons se rencontrent. Elles sont sensiblement de même taille, les petits tétons bruns des seins pointus de Marion appuient sur les bouts plus clairs de Sandra. Une petite lutte à qui taquinera les mamelons de l’autre s’engage aussitôt.

— Stop ! ...