1. Maison d'arrêt (11)


    Datte: 27/09/2021, Catégories: Transexuels Auteur: STILETTO, Source: Xstory

    ... lui?
    
    — Ce que je sais faire le mieux : le sucer, et le laisser m’enculer. Enfin bon, pour ce qui est de ce dernier point, je vais attendre un peu que mon anus soit entièrement cicatrisé.
    
    J’éclate d’un rire nerveux en disant cela.
    
    — Mais enfin, je ne comprends pas.
    
    — C’est simple. Il ne lèvera pas le petit doigt en ta faveur à moins que tu n’ais un moyen pour le tenir par les couilles. Et bien ce moyen, c’est moi qui vais te l’offrir. Je vais le faire bander et le faire jouir comme un fou. Bientôt, il ne pourra plus se passer de mon cul et de mes turluttes, et je pourrais faire de lui ce que je voudrais. Ce jour là, tu le tiendras par les couilles à travers moi.
    
    — Johanna, tu es vraiment machiavélique.
    
    — Tu ne sais pas encore à quel point. Tache de t’en rappeler si un jour l’envie de me tromper te prenait.
    
    Deux jours plus tard, je suis reçue par le directeur dans son bureau. Malgré "l’incident" dont Paulo et moi avons été victimes, le BOSS a toujours beaucoup d’influence.
    
    — Monsieur ou..... Mlle MARIE, je ne sais pas comment je dois vous appeler.
    
    — Appeler moi Johana M le directeur, ce sera plus simple.
    
    — Bien Johana. Que puis-je faire pour vous? Vous venez me voir au sujet de votre "accident" je suppose.
    
    Je me doutais que le directeur de la prison essaierait d’en savoir plus sur ce qui m’est arrivé. C’est même probablement pour ça qu’il m’a reçu aussi vite. Il espère surement trouver un moyen de renforcer son autorité au détriments de Big ...
    ... Mike, mais aussi de celle de mon homme.
    
    De cela il n’en est pas question. Ni moi ni Paulo n’avons dit quoi que se soit sur ce qui nous est arrivé lors des faits, et ce n’est pas maintenant que je vais passer pour une balance. Officiellement, c’est un accident même si personne n’en croit un mot. Comme je l’ai déjà dit, ce qui ce passe en prison reste en prison. Et puis de plus, je ne veux pour rien au monde que quelqu’un me vole ma vengeance.
    
    Il est donc très déçu de ma réponse :
    
    — Comme vous venez de le dire, c’était un accident. C’est du passé maintenant.
    
    Non, je suis venue vous voir pour toute autre chose.
    
    L’attrait du directeur pour moi retombe d’un coup, beaucoup trop vite à mon gout. J’ai maintenant peur qu’il n’écourte notre rendez-vous avant que j’ai le temps de lui parler. Il me faut très vite raviver son intérêt.
    
    J’écarte alors largement les jambes afin qu’il puisse admirer ma petite culotte en dentelle sous ma robe ( et si, pour une fois j’en ai mis une), et le fixe droit dans les yeux en passant ma langue sur mes lèvres.
    
    — En fait si je suis venue vous voir, c’est que j’aimerais devenir secrétaire.
    
    Il est temps pour moi de penser à mon avenir une fois que je serais sortie de prison, et je pense avoir toutes les qualités requises pour devenir une bonne assistante de direction.
    
    J’ai pris soin de repasser avec insistance ma langue sur les lèvres entre chaque phrase afin de bien l’exciter. Le directeur me dévore maintenant des yeux. J’ai de ...