1. La déchéance de Juliette Ch. 06


    Datte: 27/09/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica

    ... vrai symbole de sa déchéance. Jeanne tira sur ses cheveux roux pour qu'elle lève le visage avec le sperme séchant dessus. La gardienne avait un regard dur :
    
    - Pour ta punition, tu porteras ça jusqu'à ce que nous en décidions autrement. Mais tu devrais être heureuse, c'est une marque dans la prison qui indique aux autres détenues que tu es ma chienne. Ça te gardera à l'abri de toute attaque. Bien sûr, si tu veux l'enlever, tu peux le faire, mais alors tu seras seule. Compris ?
    
    Juliette hocha la tête tristement et baissa les yeux tandis que la gardienne tirait sur le collier et le resserrait jusqu'au trou suivant dans le cuir.
    
    - Maintenant, je vais l'enlever de votre vue, directeur. Je vais la conduire dans sa cellule et la présenter à ses nouveaux compagnons de détention. Son « parrain » est-il toujours là ?
    
    Il y avait une contrariété mal déguisée derrière cette dernière question.
    
    - Je crois que oui. Il n'est certainement pas reparti. Ça m'irrite vous savez. C'est ma prison et je déteste que quelqu'un ait son mot à dire sur ce qui se passe, mais...
    
    Il s'arrêta net de parler quand il vit que Juliette s'intéressait à ses mots.
    
    - Mais ne gâchons pas la surprise, hein ! Allez officier Loyale, enlevez ça de ma vue ! Et salope, souviens-toi la prochaine fois que tu pourras me sucer, que tu ferais bien d'avaler tout mon foutre.
    
    Sans tarder, la grande gardienne sortit une chaîne terne et rouillée de la poche de sa veste et l'attacha au collier. Elle ...
    ... expliqua à l'ancienne commissaire exactement comment elles allaient se rendre dans sa cellule.
    
    - Tu vas ramper comme la chienne que tu es jusqu'à ta cellule. Et si tu essaies de nettoyer ton visage, tu le regretteras. Allez, bouge maintenant !
    
    Les derniers mots furent suivis d'une brusque tension de la laisse qui tira Juliette à quatre pattes. La gardienne marcha sur un rythme effréné qui força la prisonnière à se faufiler derrière elle aussi rapidement qu'elle pouvait le faire. Elles passèrent la porte en bois du directeur et la réception. Juliette rampa humblement devant les bureaux des secrétaires. Elle les laissa se moquer d'elle alors qu'elle passait. Puis elle suivit Jeanne le long du couloir gris, devant un certain nombre de gardes en uniforme qui ricanèrent, mais qui se retinrent de dire quoi que ce soit en voyant le regard féroce sur le visage de l'officier LOYALE (quelques-uns avaient eu le malheur de payer physiquement quelques commentaires sur elle). Ils se contentèrent de déverrouiller différentes porte pour les laisser pénétrer dans la zone principale de la prison.
    
    Les cris et les sifflets recommencèrent alors qu'elles émergeaient dans cette zone. Ils s'éteignirent peu à peu en voyant qui promenait la « chienne ». Jeanne inspirait la peur et le respect à tout le monde dans la prison. La plupart des détenues ayant croisé son chemin auparavant n'étaient plus pressées de le faire à nouveau.
    
    La gardienne ne ralentit pas le rythme brutal et Juliette peinait ...