Hypnose Mécanique 10
Datte: 03/08/2018,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... superbe brune qui ne fait pas plus que quarante ans. Un corps de jeune fille. Bien malgré elle, il dégage de sa personne un vrai appel au sexe. Jonas l'a rencontré dans un supermarché, il décide de jouer un peu avec elle.
Aziza Qumicha. Superbe marocaine de vingt-trois ans. J'ai fondu pour elle quand la jeune femme m'a arrêté pour le viol d'Aurélie. Maintenant l'heure de ma vengeance à sonné.
Aurélie regarde son avocat.
-- Bien, cela c'est passé la veille du premier Mai. Je m'étais engueulé avec Jonas, sur un sujet professionnel. Pour me faire pardonner, je lui ai proposé de le voir. Je pensais que l'on pourrais se voir dans son bureau, après le week-end férié. Il m'a demandé de plutôt me voir le soir même, juste après mon atelier cinéma. J'étais fautive, j'ai accepter de le voir à dix-huit heures dans le hangar qui me sert pour mon atelier.
-- Bien, où se trouve exactement ce hangar?
-- Au fin fond de l'université, dans un coin isolé et désert. J'y anime un atelier cinéma, trois fois par semaine. En fin de journée, de seize heures à dix-huit heures.
-- D'accord, il y avait-il des élèves?
-- Je penses qu'il m'a espionné, il est arrivé avec quinze minutes de retard, juste après que le dernier élève soit parti.
-- Pourquoi pensez-vous qu'il vous ai espionnée?
-- Il est extrêmement ponctuel. Jamais un retard. Puis ce jour là, il arrive avec quinze minutes de retard, une minute environs après le départ du dernier de mes élèves.
-- Cela ne pourrais ...
... pas être une coïncidence?
-- Non, je regardais par la fenêtre, j'ai vu mon élève partir. Trente seconde après, Jonas est entré. Il n'y a qu'un seul chemin, si il n'était pas déjà caché dans le hangar, je l'aurais vu arrivé. De plus il aurait croisé mon élève.
-- Je vois. Racontez-nous la suite.
-- Il est donc devant moi. Je m'approche, je veux lui dire que je regrette. Que j'ai envie que l'on redeviennent des collègues comme a son arrivé. Qu'il faut enterrer la hache de guerre.
La fin de la phrase d'Aurélie se brise. Elle se met à pleurer plus fort. Elle est attendrissante, on a envie de la protéger, sauf moi bien sur.
-- Je m'approche, et là tout part en vrille. Je ne peux prononcer un mot. Il m'envoie un coup de poing en pleine tempe. Je ne m'y attendais pas. Je m'écroule, en voyant trente-six chandelles.
Nouvelle pause pleure d'Aurélie.
-- Il se jette sur moi, il s'assoit sur mon torse, il cogne et cogne. Je suis au bord de l'évanouissement. Là il m'arrache mon chemisier, ma jupe. Mon soutien-gorge et ma culotte suivent. Une fois que je suis nue, il me menotte les mains dans le dos.
-- Comment étiez vous habillée?
-- Je ne vois pas le rapport.
-- Répondez-moi, s'il vous plaît.
Son avocat est malin, il la traite sans complaisance, alors que tout est sûrement répété. Je ne le sais pas encore, mais ils ont tout répété sur Skype.
-- J'avais un chemisier blanc, à manche longue, une jupe qui m'arrive juste au dessus du genoux.
-- Pas une ...