1. Hypnose Mécanique 10


    Datte: 03/08/2018, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... vous l'avez appelez.
    
    -- Je sais, mais il n'y a aucune trace de cet appel sur mon téléphone ou chez mon opérateur, la police à confirmé mes dires.
    
    -- D'accord, revenons à ce lundi soir. Je sais que c'est difficile, mais après ce sera terminé.
    
    Son avocat sait très bien que ce n'est pas vrai, mon défenseur devrait l'interroger lui aussi, et il sera beaucoup plus féroce.
    
    -- Donc, je suis rentré de la pharmacie vingt minutes après être partie. J'étais en larmes, sortir m'avait terrorisée, j'avais l'impression à chaque instant que l'on allait se jeter sur moi pour me violer de nouveau.J'ai ouvert la porte, mais à peine l'ai-je refermé, que j'ai été propulsé sur le sol. J'ai tellement eut peur, que je me suis pissée dessus. Il faisait noir, je ne savais pas qui c'était, mais je savais une chose, mon cauchemar allait recommencer. Une nouvelle fois on m'a arracher mes vêtements, une nouvelle fois j'ai été menottée et frappée.
    
    Aurélie éclate en sanglots, puis au bout d'une ou deux minutes, elle reprend.
    
    -- Il était devant moi, nu. Il n'a pas dit un mot. Il c'est couché sur moi et m'a violée, de nouveau. Plusieurs fois, par devant, par derrière, dans la bouche. Une nouvelle j'avais mes orifices remplit de sperme, son sperme. Même mon corps en était couvert.
    
    Elle à une nouvelle grosse crise de pleure. La tension est palpable dans le tribunal, tous sont ébranlé par la tristesse de la jeune femme.
    
    -- Il m'a détaché, j'étais sur le dos., il m'a regardé en se ...
    ... rhabillant. Il n'avait toujours pas dit un mot, sauf pour m'insulter et me rabaisser en me prenant. Il m'a juste montré un trousseau de clé. Puis il a dit « Je reviendrais, j'ai les clés, tu es trop un bon coup pour que j'arrête. Si tu vas aux flics, je te tuerais. ».
    
    Aurélie se tait, pour rajouter de l'impact à ses mots. Puis elle reprend.
    
    -- Une fois qu'il fut partie, j'ai eus un déclic. Si je ne prévenais pas la police maintenant, je ne pourrais plus le faire. Ce serais trop tard ensuite, je devrais le subir en espérant qu'il se lasse de moi. Je me suis battu contre ma terreur, j'ai mis du temps, mais j'ai prévenu la police.
    
    L'avocat laisse lui aussi une minute de silence, avant de regarder la cours.
    
    -- Vos êtes vous remise de vos terribles agression sexuelle?
    
    -- Non, je ne le pourrais pas.
    
    -- Pourquoi?
    
    -- Je suis enceinte, je suis très croyante, je ne peux avorter, j'élèverais l'enfant, je sais que je l'aimerais de tout mon cœur, même si il me rappellera mon viol tout les jours. Il me rappellera cet horrible lundi soir.
    
    Ses paroles font l'effet d'une bombe, nouvelle crise de pleures de la part d'Aurélie. Son avocat reprend.
    
    -- Pourquoi dire que vous êtes tombée enceinte le lundi soir et pas le week-end?
    
    -- Parce que j'étais réglée pendant le week-end. Je l'étais encore en me douchant le lundi matin, mes règles ont cessée vers midi, le lundi.
    
    -- Nous avons fait un test sur l'embryon, Jonas est bien le père de l'enfant. L'ADN a matché.
    
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