Le projet artistique (36)
Datte: 25/09/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Yojik, Source: Xstory
Maxime narrateur
Nous nous étions couchés rapidement après ça. Nous avions collé les matelas et attaché les sacs de couchage deux par deux. Cela nous permit de nous faufiler en couple à l’intérieur. Les filles avaient prévu de quoi dormir, nuisette ou t-shirt, mais elles n’eurent que le courage de virer leurs soutiens-gorges. Nous, nous pensions dormir en sous-vêtements, mais je ne savais plus trop où il était. Et j’avais envie de sentir le corps tout chaud de ma femme contre moi, sans aucune barrière. Avant de s’endormir, Amandine me dit :
— J’ai la tête qui tourne. J’espère que je vais pas être malade.
— Ça va aller. Je suis là.
Je lui déposai un baiser dans le cou et elle s’endormit. Heureusement, personne ne fut malade pendant la nuit. Personne ne se réveilla non plus pour baiser. Il me samba que nous avions notre compte et plus que largement. Il devait être au moins trois heures du matin quand nous nous endormîmes.
Au petit matin, je fus réveillé par Esteban et Felipe qui se levaient pour aller aux toilettes. Je me rendis compte que j’avais envie de pisser aussi. Je sortis doucement du sac de couchage et les suivis.
— Salut. Ça va ?
— Oh, on t’a réveillé, se désola Esteban.
— Non, j’avais besoin de pisser aussi.
Felipe sortit des toilettes et Esteban prit sa place.
— Alors, on a passé une sacrée soirée, me dit-il.
— Oui carrément. Mais euh, je me demande comment les filles vont réagir au réveil.
— Comment ça ?
— Bah, on les a ...
... baisées quand même. Et hier soir, il y avait l’excitation de la soirée et le champagne qui ont fait sauter quelques barrières.
— Oui, va falloir être irréprochable ce matin.
— Plus qu’irréprochable, lui dis-je.
— Pourquoi on devrait être irréprochables ? demanda soudain Germain.
Il était arrivé sans faire de bruit. Il me fit sursauter. Nous lui expliquâmes alors qu’Esteban sortait des toilettes. J’y entrai à mon tour et me vidai la vessie. En ressortant, je vis que Paul et Olivier étaient là aussi. C’étaient les jumeaux qui les avaient réveillés. Germain alla pisser et nous expliquâmes notre dilemme aux deux derniers. Nous réfléchîmes à ce que nous pouvions bien faire pour elles pendant que Paul et Olivier passèrent aux stands. En ressortant, Paul nous rappela quelque chose :
— Au fait, on a commandé des viennoiseries à la boulangerie pas loin hier. C’est payé, il n’y a plus qu’à aller les chercher.
— Elles seront contentes, mais il faudrait au moins autre chose, lui répondit Germain.
— Mmmmh, on débarrasse la table et on la prépare pour le petit-déj.
— Oui Seb, mais faut qu’on prépare le café. Carine m’a dit qu’il y avait une cafetière dans le bureau de la prof de danse et quelques tasses en plastique.
— Y a du café au moins ? demandai-je.
— Je vais voir.
— OK donc café, croissants, rangement. On est pas mal, là, se félicita Olivier.
— Des fleurs. Il nous faut des fleurs, objecta Paul. Les femmes adorent ça. Dans le doute ou pour vous faire ...