Jeudi 5 mars 2048
Datte: 03/08/2018,
Catégories:
h,
fh,
ff,
ffh,
hplusag,
amour,
Auteur: Nooz, Source: Revebebe
... deux amantes explorent toutes les parties de mon corps, n’excluant aucun repli. L’eau qui ruisselle ne rencontre plus de résistance ; une sensation de fraîcheur, accentuée par les mains de mes compagnes, m’envahit.
Je me sens tout nu ; comme une renaissance. Elles m’ont couché sur le lit et me massent avec des huiles essentielles. Je suis sur un nuage… Les quatre mains se baladent des talons aux épaules, la pointe d’un sein me frôle par intermittence le dos ; je suis dans un état indescriptible ! Placé sur le dos, elles m’oignent avec application, ignorant mon érection. Elles finissent leur massage par mes pectoraux, titillant du bout des doigts mes tétons. Selma regarde ma verge, tout sourire ; elle la saisit et la place à la verticale.
— Hélène, montre comment tu mouilles pour notre étalon.
Elle m’enjambe sans une parole, et mon membre est aspiré dans un fourreau brûlant. Elle respire fortement et frotte son clitoris sur la peau nue de mon pubis. Le plaisir soudain me place à la limite de la jouissance. Selma n’est pas en reste : elle m’enfourche au niveau de la poitrine et s’avance cambrée vers ma tête. Sa vulve est brillante, et quand la pointe de ma langue effleure sa fente, elle exhale et embrasse son amante. Les gémissements de Selma augmentent. Je me concentre sur son clitoris, ce qui me permet de résister aux assauts de plus en plus rapides de la cavalière juchée sur ma verge. Ma jouissance se déclenche brutalement et provoque celle d’Hélène. D’un petit ...
... mouvement de bassin, elle se dégage et Selma en profite pour m’engloutir et profiter du mélange de nos deux jouissances. Je consolide ma prise sur ses hanches, et ma langue fouille au plus profond de sa fleur jusqu’à l’orgasme.
Une heure plus tard, nous sommes, Selma et moi, dans le bureau de Jean-Joseph pour achever les derniers réglages du plan. Tout maintenant est dans les mains de nos ennemis ; une sourde angoisse me saisit en pensant à tous les aléas du plan. Il nous reste quatre semaines d’inaction, mais aussi de doute et d’angoisse. Je regarde Selma : rien dans son attitude ne trahit une quelconque anxiété. Elle se retourne, me sourit. J’approche de son oreille et je chuchote :
— Je t’aime.
Elle m’embrasse…
Les semaines s’égrènent lentement ; mon angoisse augmente en proportion. Depuis plus d’une semaine, plus d’intrusion, ce qui tend à prouver que nos ennemis ont décidé, et qu’eux aussi planchent sur un plan d’attaque. Mon instructeur me disait qu’une embuscade bien préparée, c’est une victoire assurée ; mais suis-je bien préparé ? Toutes les équipes sont formées, et les exercices et simulations n’ont donné que de bons résultats. Il n’en reste pas moins que la boule que je ressens dans l’estomac est prégnante.
Hélène dort tranquillement ; nous venons de faire l’amour. Selma, absente pour quelques jours, règle un problème de sécurité dans une agence. Je me pelotonne contre elle. La chaleur du corps qui m’accueille me rassure. Je calque ma respiration sur la ...