1. De réelles pensées (1)


    Datte: 02/08/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Carpadierma, Source: Xstory

    ... vraiment curieux sur la question. Prise d’un élan de courage et avec humour maladroit dû au stress en vertu de la situation, je décide de lui répondre " Non non, c’est un de vos élèves en fait"
    
    — Vous moquez-vous de moi, Mademoiselle Lérianne ?
    
    — Tout à fait... je dis, le regard ailleurs.
    
    Je le sens se déplacer derrière moi, puis plus rien pendant 30 secondes, je prends l’initiative de me retourner. Mais il me rattape vite, en me tirant les cheveux, ma tête part vers l’arrière et nos yeux se croisent par la même occasion.
    
    — Ne vous moquez jamais de moi !! Vous êtes bonne et obéissante, alors, ne venez pas tout gâcher en vous donnant des airs de dure.
    
    Il se rapproche de mon oreille droite et chuchote : "Parce que les seules choses dures ici sont : ma queue et la manière dont vous aurez à vous retenir de crier quand je vous pilonnerai sur ce bureau. Compris ?
    
    — Oui... Dis-je entre l’effroi, la surprise, et le plaisir qui se dégagent de ses paroles.
    
    — Oui qui ? Dit-il en tirant fortement mes cheveux et en prenant et serrant mon sein droit dans sa main.
    
    — Oui Monsieur.
    
    — Bien, voyons voir si vous mouillez bien. J’ai toujours deviné que vous étiez bien trempée pendant mon cours, mais j’ai jamais su à quel degré d’intensité.
    
    — Mais Monsieur si quelqu’un entre ? Dis-je, sévèrement perturbée par son toucher.
    
    — Eh bien, priez donc pour pas finir avec un autre prof avec la queue en feu ou une femme le sexe trempé, Mademoiselle Lérianne.
    
    Ses mots ...
    ... m’excitent terriblement alors que hors contexte, ils m’auraient dégoûtée.
    
    Il reprend et dit : " Sur ce..."
    
    Je sens sa main descendre plus bas, toujours assise sur ma chaise et lui, debout, dans mon dos. Il soulève ma robe, laissant parcourir ses doigts froids sur ma cuisse, puis les glissent par dessus ma culotte. Je laisse alors échapper un gémissement incontrôlé.
    
    — Mmh... Monsieur non... Mmh.
    
    — Ta gueule. Putain, je la sens même par-dessus ta culotte de pucelle ! Tu la souille avec ta mouille, regarde ! Elle devient de moins en moins blanche.
    
    — Non...
    
    Je n’ose pas regarder. Je n’ai même pas fini que de ses mains il s’empare de mon visage et le descend en direction de mon entrejambe.
    
    — Laisse ton visage ici, ne bouge plus, et tes jambes, mets-les comme ça !
    
    Il les ouvre, et les place de manière à ce que j’ai les jambes totalement écartées en hauteur, mes pieds posés sur la table face à moi.
    
    — Bon et maintenant... dit-il avec un ton sadique.
    
    Il m’enfonce directement deux doigts !
    
    —-Non, arrêtez !
    
    — J’aime tes gémissements, je ne vais certainement pas arrêter. Cependant, tes jacassements m’agacent.
    
    Je le vois défaire sa cravate, la mettre en boule et me l’insérer dans la bouche.
    
    — Parfait. Passons aux choses sérieuses.
    
    Je suis estomaquée quand je le vois se redresser face à moi. Son érection est déjà apparente, il a l’air bien gaulé le prof... qui l’aurait cru ?
    
    — Je vois bien que tu veux que je te la mette au fond de la gorge, mais ...