1. De réelles pensées (1)


    Datte: 02/08/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Carpadierma, Source: Xstory

    ... imagination me mène :
    
    "J’arrive dans la classe, m’installe, écoute. Il m’interpelle à un moment pour venir au tableau et j’obéis comme un petit chien.
    
    — Effacez le tableau Béa. Le cours va bientôt se terminer, il ne me sert plus à rien.
    
    Et c’est à moi qu’il demande... Je ne suis pas sa bonniche tout de même. L’effaceur aimanté est trop haut pour que je l’atteigne. Je ne veux déranger personne, alors je prends une chaise à mes côtés et commence à monter dessus, sous les yeux du prof.
    
    — Mademoiselle Lérianne, êtes-vous folle ? me dit-il sur un ton sévère.
    
    Les élèves sont tous en groupe en train de profiter de la fin de cours anticipée que le prof nous offre.
    
    Personne ne peut me venir en aide, et merde !
    
    — Je suis désolée, je ne voulais déranger personne... dis-je d’un ton égal sans prendre soin de le regarder.
    
    Je sais que ça l’énerve. Je me retourne face au tableau et tente toujours de saisir cette foutue brosse aimantée, baissant par moments ma robe.
    
    Il souffle et déclare :
    
    — Ne bougez plus.
    
    Il se lève de son bureau, se pose derrière moi. Mes pensées divaguent et encore plus quand je sens son pantalon froissé contre ma peau. Ce que je convoite à chaque cours se trouve contre mes fesses. Il tend ses mains vers le haut, se colle un peu plus à moi.
    
    — Mmm... Je... J’allais y arriver. Dis-je au moment où il s’empare de l’effaceur.
    
    — J’en doute, bonne à rien ! Me chuchote-t-il.
    
    J’ai cru mal entendre ? Je me retourne un peu vexée, je suis ...
    ... collée face à lui, le regard des élèves m’importe peu.
    
    — Je pense être capable de beaucoup de choses, Monsieur.
    
    — Je n’en doute pas, Mademoiselle Lérianne.
    
    Je me défais de son emprise et retourne auprès des autres, range mes affaires.
    
    Je finis juste en même temps que la sonnerie retentit mais malgré ma rapidité, je suis la dernière à partir.
    
    — Amie 1 : Je t’attends en bas, dépêche-toi, on va rater le bus !
    
    Je me lève quelques secondes après et m’apprête à franchir la porte quand Monsieur Fosteur la claque sous mon nez.
    
    — Au cas où vous n’auriez pas remarqué ma présence Monsieur, sachez que je suis encore là ! Dis-je, irritée.
    
    — Je sais, je vous ai remarquée le jour où vous avez franchi cette même porte, vous et votre aura de soumise pure.
    
    — Mais ! Cela ne se dit pas !
    
    Je dis cela tout à fait surprise par ce revirement d’attitude. Il s’approche de moi.
    
    — Fermez-la, et asseyez-vous.
    
    Malgré moi, je lui obéis, effrayée par mon désir, et la réalité de la situation.
    
    — Bonne fille. Très bien, je ne vais pas passer par quatre chemins. J’ai remarqué la lueur que vous avez dans le regard par moments dans mon cours. J’ai pu entrevoir de nombreuses vos cuisses brûlantes que vous refermiez et votre petite main droite, qui par moments aussi se laissait aller vers votre entrejambe.
    
    — Je... Je..., prise de panique je ne sais rien rétorquer.
    
    — Vous êtes terriblement en chaleur à chacun de mes cours. Est-ce moi qui vous fais cet effet ? Il a l’air ...
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