1. Tombée en panne


    Datte: 01/08/2018, Catégories: fh, jeunes, inconnu, vacances, caférestau, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation pénétratio, Auteur: Ugluk, Source: Revebebe

    ... véritable labyrinthe de petite routes parsemées de ralentisseurs. Je perds vite tout sens de l’orientation. D’ailleurs, je remarque que c’est la deuxième fois que je passe devant la boulangerie. Encore, si elle était ouverte je pourrais aller m’y renseigner mais ici les rues sont désertes et tous les commerces protégés derrière leur volets métalliques. Seuls quelques gamins déambulent par bandes sur les espaces verts. Comment peut-il y avoir autant de logements et si peu de monde dehors ? Je commence à sérieusement à m’angoisser. Alors je m’arrête pour consulter la notice du constructeur de ma voiture. Tandis que je fouille dans ma boîte à gants, un sifflet admiratif me fait sursauter. Je relève la tête et découvre trois adolescents plantés juste à côté de ma portière passager.
    
    — Waouh, giga cool, la caisse ! s’exclame l’un des trois gamins.
    — Elle est aussi bien carrossée que la meuf, répond le plus grand.
    
    Craintive, je les observe un moment, hésitant entre m’éloigner au plus vite ou profiter de l’occasion pour leur demander de l’aide. Finalement, jugeant qu’ils n’ont pas l’air d’être si méchants que ça, j’opte pour la seconde solution.
    
    — Excusez-moi, mais je cherche un garage. Pourriez-vous m’indiquer le plus proche ?
    — T’es en panne ? me lance le troisième.
    — Pas encore, seulement ça risque de ne pas tarder si je ne la présente pas rapidement à un mécanicien.
    — Faut aller chez Ruaux, indique le plus grand. C’est au bout de la cité en suivant la direction du ...
    ... parc des sports.
    — Merci pour le renseignement !
    — N’empêche que ça m’étonnerait qu’il travaille aujourd’hui, ajoute-t-il. Essayez quand même. Y’a souvent des gars qui bricolent des caisses ou leurs meules le dimanche dans son atelier. Ruaux sera peut-être là.
    
    Sans perdre un instant, je démarre et commence à suivre la direction que viennent de m’indiquer les adolescents. Le dédale formé par les rues de cette cité me complique la tâche, d’autant plus que les panneaux de signalisation sont souvent mal placés. Je m’énerve. J’imagine les problèmes que je vais rencontrer si je m’égare et, pire que tout, si ma voiture refuse d’aller plus loin. La chaleur me paraît soudain difficile à supporter. La sueur perle sur mon front et mon corps devient moite. Enfin mon regard tombe sur l’enseigne du garage. Le grand portail métallique est fermé et je ne vois personne. Pas même le moindre cyclomoteur. Je gare vite ma voiture et viens quand même frapper à la porte qui est intégrée au portail de l’atelier. J’appelle :
    
    — Y’a quelqu’un ?
    
    Pas de réponse. Désespérée, je tente d’ouvrir la porte. Elle n’est pas verrouillée. Timidement je pénètre dans le garage en appelant à nouveau :
    
    — Y’a-t-il quelqu’un ?
    — Qu’est-ce que vous voulez ? me répond une voix d’homme.
    — Où êtes-vous ?
    — Là ! Sous la Bagheera !
    
    Une dizaine de voitures sont parquées sous le grand hangar. Je cherche celle sous laquelle le garagiste peut bien se trouver. Finalement, je découvre une paire de jambes qui ...
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