1. Tombée en panne


    Datte: 01/08/2018, Catégories: fh, jeunes, inconnu, vacances, caférestau, revede, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, Masturbation pénétratio, Auteur: Ugluk, Source: Revebebe

    ... premier garçon que je rencontre me fait fondre d’un simple sourire. Pour dissimuler mon trouble, je m’efforce d’éviter son regard, craignant qu’il remarque mon émotion. Les minutes passent tandis que le jeune homme démonte puis remonte des objets dont j’ignorais qu’ils puissent se trouver sous le capot de ma voiture. Finalement, après plus d’une heure d’efforts et cinq ou six mises en marche de mon moteur, mon mécanicien amateur m’annonce, triomphant :
    
    — Je crois que c’est bon ! Mettez en route.
    
    Je m’exécute et constate, ravie, que le voyant rouge est enfin éteint. Le moteur tourne à nouveau comme une horloge.
    
    — Vous êtes formidable ! Tout semble fonctionner à nouveau normalement. Combien vous dois-je ?
    — Hé là ! Je vous l’ai dit, je ne suis pas garagiste. Juste un simple bricoleur. Avec moi, pas de facture. Je rends service, c’est tout…
    — J’aimerais quand même vous remercier.
    — Alors acceptez de dîner avec moi ce soir. Je connais un restaurant très sympa.
    — Ce serait avec plaisir, mais je suis attendue à l’Ermitage ce soir.
    — Dommage, j’aurais bien aimé dîner en compagnie d’une aussi jolie fille. J’aurais dû me douter que vous refuseriez… Je n’ai pas assez de classe pour vous !
    — Attendez ! Je n’ai pas dit ça. Je ne peux pas accepter votre invitation parce que Marie-Rose, la gouvernante, est prévenue de mon arrivée. Je ne voudrais pas l’inquiéter.
    — Alors, téléphonez-lui… Je vous promets de vous libérer bien avant minuit, ajoute-t-il, presque ...
    ... suppliant.
    
    Ses yeux plongés dans les miens rendent toute résistance pratiquement impossible. Il m’a piégée et je suis certaine qu’il en est conscient. J’accepte donc son invitation et lui demande de m’indiquer où trouver un téléphone.
    
    — Il suffit d’utiliser celui de Ruaux, là-bas, sur le bureau, m’indique t-il.
    — Je voudrais également me changer et me rafraîchir un peu.
    
    Je lui présente la trace noire qu’il a laissée sur ma main. Il acquiesce d’un simple regard.
    
    — Pas de problème, le vestiaire se trouve derrière la porte du fond, à droite.
    
    Après avoir téléphoné à Marie-Rose, je sors un de mes sacs du coffre de ma voiture et me dirige vers la porte du fond de l’atelier. Le jeune homme est à nouveau plongé sous la Talbot-Matra qu’il réparait à mon arrivée.
    
    — J’en ai encore pour quelques minutes, m’indique-t-il au passage. J’ai promis de terminer aujourd’hui.
    
    J’entre dans le vestiaire. Il s’agit d’une petite pièce dans laquelle sont disposées trois armoires métalliques cadenassées, un banc en bois et un miroir sur le mur. Une méchante odeur flotte dans l’atmosphère, mélange de cambouis, de sueur et d’eau de toilette à bon marché. Une seconde porte, entrouverte, donne accès à un coin toilette comprenant un lavabo et une cabine de douche. Un sac de sport bleu est posé dans un coin. J’essaie de refermer derrière moi, mais la serrure est cassée. Je pose mes affaires contre la porte pour en bloquer l’accès et j’ouvre le robinet de la douche afin d’en vérifier le bon ...
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