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Marie et le sculpteur aveugle (7)
Datte: 01/08/2018, Catégories: Erotique, Auteur: catchme, Source: Xstory
... mouille à nouveau comme une folle et me retiens de ne pas laisser mon cul descendre sur son engin turgescent. « Oh » fait Robert admiratif. « On dirait que c’est parfaitement ajusté pour leurs tailles » « En effet » ajoute Manuel qui d’un œil très technique reluque mon cul qui s’approche du gland du garçon... Alain relève la tête pour voir la scène. La vue de mon corps nu et de mes fesses écartées qui restent en suspension à quelques centimètres au-dessus de son sexe, semble lui provoquer une forte montée de sève. Sa bitte se raidit encore plus et il gesticule pour la replacer dans son froc ! Quant à moi, c’est le supplice de tantale: J’ai du mal à résister à la tentation de m’empaler dessus et de me finir ! « Attends, reste bien en place Alain, ne bouge pas » lui intime Manuel qui veut s’assurer que les trous sont bien percés aux bonnes distances. « Je vais me servir de cartons découpés pour prendre la forme du dos arc-bouté et les angles des bras et des jambes parce que je les vois pas tenir cette pose épuisante pendant que je vais les sculpter » explique Lucien qui vient de ramener des gabarits en carton. « On y voit plus rien » dit Robert; La nuit tombe. « Ça ne me dérange pas » fait Lucien sur un ton amusé qui découpe ses cartons en suivant la courbure du corps d’Alain. « Oui, il faudrait un éclairage » ajoute Manuel « Ah mais j’y pense, il y a mes spots que j’ai laissés dans l’atelier l’autre jour ; venez m’aider, on va les chercher » dit ...
... Robert à Manuel. « Bougez pas les tourtereaux » fait Manuel d’un air taquin. Je les regarde s’éloigner alors que le ciel se voile de sa parure étoilée. Il fait toujours très chaud, les cigales chantent à tue-tête et le prof s’affaire sur ses gabarits. Je n’y tiens plus, je fatigue et me surprends à laisser descendre mes fesses quand soudain, je sens son gland me frôler la fente... Je déglutis de plaisir. Alain redresse la tête et gesticule à nouveau. Il semble m’implorer... Je descends un peu plus mon cul. Je me positionne. Son gros gland luisant écarte mes grosses lèvres... Je n’arrive pas à résister et continue de descendre jusqu’à... l’engloutir ! Le sexe dur pousse lentement sur mes parois intimes qui s’ouvrent comme des pétales de rose à son passage. C’est divin ! Alain lâche un gémissement de plaisir et moi un long soupir qui trahit mon plaisir. Le Prof n’est pas dupe mais reste concentré sur son travail. A genoux sous "la table" qui gigote, il transpire. Je ne peux plus me retenir et accélère la cadence. Son pieu me transperce mes tissus d’amour tout imbibés de chaude cyprine. Sa bite turgescente glisse dedans avec bonheur, se frottant voluptueusement sur mes parois intimes spongieuses et gorgées de jus d’amour. Un bruit obscène de succion ne tarde pas à se faire entendre et mes halètements achèvent de trahir mon état. Le Prof sourit mais ne dit rien. J’entends les deux autres ramasser les projecteurs dans l’atelier. Je ne veux pas me ...