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Marie et le sculpteur aveugle (7)
Datte: 01/08/2018, Catégories: Erotique, Auteur: catchme, Source: Xstory
... peu groggy. J’ai du foutre partout ! Les quatre hommes nus me font face et me sourient. Leurs queues à moitié bandées pendouillent et coulent encore de restes de sperme. Je n’ai d’yeux que pour Lucien. Nous avons franchi un nouveau cran...et j’ai du mal à croiser son regard gêné. Ma chatte dégurgite doucement d’un liquide visqueux qui ressort et macule le tabouret tandis que mon visage est méconnaissable. Sans un mot, ils m’aident à marcher jusqu’à la douche et se chargent de me laver. Leurs huit mains me frottent mais surtout me pelotent de partout. Je me laisse faire en fermant les yeux pour profiter de cet instant de relaxation absolument magique que je voudrais sans fin. L’eau rédemptrice chaude coule entre mes seins et s’insinue dans ma fente. Je fonds dans leurs bras et suis dans un état second, en extase absolue. En dehors du concert de cigales, le silence entre nous est entier, la symbiose complète et la communion totale. J’ai l’impression d’avoir trouvé une nouvelle famille. A regret, je m’arrache finalement à leurs mains farfouilleuses et m’essuie doucement puis m’éclipse sans un mot, en leur jetant un simple petit sourire timide et embarrassé. Le Prof me regarde d’un ...
... drôle d’air que je ne lui connaissais pas. A peine ai-je franchi la haie pour regagner ma maisonnette, que je les entends parler de moi mais je suis trop lasse pour écouter et viens m’affaler à plat ventre en croix sur mon lit pour savourer un profond sommeil réparateur. Je m’endors comme une souche. ************************************************************************** A L’HÔTEL Dans la chambre d’hôtel, Marie vit son histoire si intensément qu’elle s’excite toute seule jusqu’à un point insoupçonné. Elle transpire et halète comme si elle revivait ces instants de plaisir de sa jeunesse. Du coup, terriblement émoustillé à mon tour par son récit si imagé, j’ai moi aussi du mal à rester de marbre. Attiré par cette splendide femme et par les réactions suscitées par son récit, je quitte discrètement mon petit bureau pour m’asseoir sur le lit ; juste en face d’elle. Plongée dans sa confession, les yeux fermés la plupart du temps pour mieux se concentrer et se remémorer ces moments érotiques elle ne s’en aperçoit pas. Elle a décroisé les jambes et ouvert deux boutons de son corsage pour se donner un peu d’air. Je me suis déchaussé et mes pieds sont presque contre les siens…Elle reprend.