1. Le cousin Robert


    Datte: 31/01/2018, Catégories: fh, extracon, cadeau, cocus, Inceste / Tabou grossexe, Voyeur / Exhib / Nudisme Oral couple+h, cocucont, Auteur: Youri Le Manifeste, Source: Revebebe

    ... son strip-tease improvisé. Il avait envie de se toucher, mais il effleura à peine sa queue parce qu’il lui restait du respect pour moi.
    
    Carole remonta sa jupe tout à fait ; son string apparut, écartant bien ses fesses.
    
    Elle revint s’assoir en souriant. Robert restait ébahi :
    
    — Té, ta femme est superbe !
    
    Il remit son sexe dans son pantalon. Ça nous avait suffi, à moi et à Carole : le sexe de mon cousin était rugueux et énorme, tant en épaisseur qu’en longueur.
    
    En débarrassant tous les deux après le départ de Robert, pompettes tous les deux sous l’effet du vin, je n’en revenais toujours pas de l’audace de ma femme. Carole m’a taquiné :
    
    — Tu as dit que je n’avais pas à m’en faire.
    
    Je l’ai prise par le bras et entraînée dans notre chambre :
    
    — Tu nous as bien excités tous les deux, salope !
    
    Je l’ai baisée avec rudesse, pendant qu’elle marmonnait :
    
    — Oui je suis une salope ! Vas-y, baise-moi !
    
    Pendant que je la pénétrais, je me surpris à lui murmurer à l’oreille :
    
    — T’aimerais bien te prendre la queue de Robert, hein salope ?
    
    Et je fus à moitié surpris de l’entendre me répondre :
    
    — Mumm, oui, je me prendrais bien sa grosse pine dans mon ventre, mmm…
    
    La nuit fut chaude, le réveil difficile. Après la veille, j’étais à moitié rassuré. Heureusement, Robert s’en allait ; le Salon se terminait ce jour-là.
    
    Je laissai Carole sous la douche et me rendis à mon travail. Elle avait pris une semaine de congé et comptait se reposer.
    
    Je l’ai ...
    ... appelée à midi. Ma femme paressait, toujours au lit. Rentré le soir, je la trouvai à l’endroit où je l’avais laissée le matin : au lit. Elle était étendue sur le ventre, les cuisses écartées, dormant impudique dans sa chemise de nuit. Je m’assis à côté d’elle, et en voulant ramener la couverture sur ses jambes nues, j’ai pris un liquide visqueux dans mes doigts. Du sperme !
    
    Du sperme ? Le mien ? Non, j’avais laissé Carole sous la douche en sortant. Et elle ne portait pas cette chemise de nuit.
    
    Ma salope de femme avait forniqué dans mon dos ! Et il régnait une étrange odeur, une odeur d’écurie ! Robert était ici. Mon salaud de cousin était chez nous, et il s’est tapé ma femme !
    
    Sentant ma présence, Carole s’est retournée :
    
    — Ah, chéri, tu es rentré… Robert était ici.
    
    Je n’en revenais pas : elle avouait.
    
    — Il avait oublié ses clés hier soir. Il est venu en fin d’après-midi. Il m’a baisée.
    
    Je n’en revenais toujours pas ; elle m’avouait ça si normalement !
    
    — Ne sois pas en colère, mon chéri, ce n’est que du sexe. J’étais curieuse de voir si c’était un aussi bon coup que dans tes histoires. Tu vois, hier il m’a excitée avec sa grosse queue, et quand il est venu, me rappelant qu’il avait dit ne pas avoir touché de femme depuis longtemps, j’ai voulu lui donner un peu de réconfort.
    
    Pendant qu’elle parlait, elle s’est assise à côté de moi. Elle puait le sexe et la bête. Je commençais à bander.
    
    — Il m’a baisée deux heures durant, et m’a donné plein d’orgasmes. ...