-
Marie - Ange & Démon (8)
Datte: 31/07/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: FredM, Source: Xstory
... voie de profil. Abdou guide son chien par son collier et l’amène par-derrière. Le museau, les babines, la langue s’agitent avec fébrilité. Con, cul, chatte, petites lèvres sont balayés par des torrents de bave. Mais Abdou veille. Il montre au chien et celui-ci essaye de monter la femelle. Les pattes ripent mais heureusement le tissu de la robe remontée protège la peau délicate de celle qui est ma maitresse. Deux. Trois. Quatre fois. Et à la cinquième le mâle trouve son chemin et pousse son dard dans la chatte de la femme rabaissée au rang de chienne. Une chienne peu habituée à une telle puissance et ses va-et-vient à une cadence hallucinante. — Tu me dois 100€. Me dit Abdou qui vient reprendre place à côté de moi après son travail d’entremetteur accompli. Marie gémit de plus en plus fort. — Les chiens coulent tout le temps. C’est ça qu’elle sent. — Ah. — Et maintenant tu vas voir. Un silence et puis bien que le chien soit calmé comme s’il attendait quelque chose. — Oh!!!! Il coule….je le sens…Il gonfle….Il gonfle…C’est ….Ahhhhhh — Tu vois je t’avais dit. La bite est en train de gonfler. Attend tu vas voir. Marie ne cesse de gémir. La bête semble chevillée en elle. Le spectacle est obscène. Comment une femme si bigote et qui prétend pratiquer sa religion, peut-elle se laisser réduire à de telles extrémités. Comment peut-elle espérer le paradis avec son attitude ? Peut-être pense-t-elle prétexter que le rhum arrangé lui a fait perdre ses ...
... repères. Mais tout de même un chien ! Pourtant, moi aussi je suis troublé de cette scène. À côté de moi Abdou a repris ses caresses sur sa bite, lentes montées et descentes avec sa main qui sert de mesure à son bel engin. Moi aussi je bande. Moi aussi je pourrais…Mais…Et pourquoi pas! Je n’ai pas à rougir de la taille de mon sexe. La nature m’a plutôt gâté mais surtout m’a fourni tout le logiciel pour l’utiliser au mieux. Je défais ma braguette. Abdou le remarque. Il sourit lorsque ma queue jaillit, tout heureuse de pouvoir respirer en se déployant. Marie ne le remarque même pas. Pourtant elle n’est pas si loin et sa position de chienne lui fournirait un angle parfait sur ce qu’elle déclenche. Non, c’est le chien, son bulbe qui a gonflé et qu’elle doit sentir, véritable bouchon qui empêche ce que la bête lui crache dans le con de ressortir. Un voyeur serait sidéré de ce qu’il pourrait voir. Deux hommes, installés comme au spectacle se paluchant la bite. Différence de couleur. Différence de taille. Mais rassemblés dans la même perversité de regarder. Une femme a quatre pattes. Non pas une femme, une chienne. Jamais le qualificatif de "chienne" n’a été autant mérité. Chienne, femelle couverte par un mâle. Saillie brutale qui essouffle les protagonistes. Le chien qui halète. La chienne qui respire rapidement avec des gémissements qui semblent venir de si loin que toute éducation est oubliée. Le voyeur serait comme nous " sidéré ! Je dis comme nous, mais je pense que ...