Marie - Ange & Démon (8)
Datte: 31/07/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: FredM, Source: Xstory
... dirait nous ! Toi en levrette….Marc qui te baise…Et moi qui l’encule…Décidément on n’invente rien dans ce domaine. Nos ancêtres savaient déjà profiter de la vie.
— C’est vrai. Tiens regarde celle-ci…et celle-ci…Deux femmes…Deux hommes…
Nous nous repaissons de ces scènes érotiques, lupanar d’avant, lieu de débauche, mais débauche assumée.
— Tu aurais fait une parfaire maquerelle, ou mieux une pute qui passerait d’homme en homme.
Dis-je en câlinant Marie alors que nous ressortons à l’air libre.
— Non, j’aurais été maquerelle, me gardant les plus beaux pour moi. Et pour toi je t’aurais trouvé des beautés exotiques et mieux de jeunes hommes bien faits, bien montés dont tu aurais pu te repaître. Tu aurais aimé, hein ?
La salope me passe la main contre ma braguette. Elle la défait. Ma queue apparaît en demi-érection. De quelques mouvements je deviens une belle trique.
La pute se retourne, s’appuie contre une barrière de chantier. Elle descend sa culotte.
— Tiens met là dans ta poche, je n’ai pas de sac.
L’invitation est très belle. Sa jupe, plus longue, plus chaude cache ses secrets. Je me glisse dessous. Je garde son intimité invisible. C’est excitant. Avec cette Marie couche toi là tout est excitant. Habillée, à poil, en bigote, en pute, en écolière, en soumise…
Son intimité est cachée mais ma queue n’a pas besoin de voir. Elle connaît tous ses secrets. Elle se faufile, se glisse, entrebâille, avance, pénètre. La grotte est grasse, humide. Elle ...
... aussi a été excitée. C’est drôle comme des fresques suggestives mais bien moins crues que nos vidéos et photos porno, peuvent avoir de force érotique.
Je reste un moment immobile, laissant Marie tortiller sa croupe vicieuse autour de moi.
C’est bon aussi ces baises presque" familiales". Je la baise doucement.
Mais le ciel devient noir et soudain des trombes d’eau se déversent sur nous comme pour refroidir nos ardeurs, comme on cherche à séparer chiens et chiennes en chaleur.
On ne peut que se séparer. Je cherche un abri et j’aperçois la baraque du gardien avec Abdou qui nous fait des grands signes. Nous courons vers lui. Je me demande si son sourire ne serait pas celui d’un voyeur. Après tout il était peut-être sur le pas de sa porte alors que nous commencions notre danse du cul ?
Nous entrons. Sa baraque est plus proche du bungalow que de la cabane de chantier. On entrevoit un lit par une porte entrouverte et le salon/cuisine ou on pénètre est assez confortable. Le chien nous fait la fête, mais il "colle" Marie avec insistance. Il est même entreprenant et lorsqu’elle s’assied dans le seul fauteuil de la pièce il cherche à passer entre ses jambes. Je comprends que l’animal doit sentir les hormones qui marquent ce que nous avions commencé de faire dehors. Il insiste. Marie le repousse en souriant. Mais elle est embarrassée et comme elle m’a dit venir d’une famille d’agriculteur elle doit parfaitement reconnaitre ce genre de comportement.
— Excusez-le. Je vais le ...