1. Partie carrée à l'hôtel


    Datte: 31/07/2018, Catégories: grp, fplusag, hagé, jeunes, cocus, hotel, boitenuit, Auteur: Julius Cassiacus, Source: Revebebe

    ... dit, en d’autres circonstances, j’aurais peut-être accepté votre invitation.
    
    Décidément, j’avais ma chance avec elle, mais la séance de la veille m’avait beaucoup plu et la perspective de la partouze en boîte était si tentante que le choix était de suite fait.
    
    — On trouvera peut-être un soir dans la semaine prochaine ? Nous sommes encore là tout le week-end et jusqu’à mardi.
    — Peut-être, mais en principe je ne sors pas la semaine.
    
    Je suis allé bosser sans Jean-Claude. Il ne me rejoignit que vers 11 heures.
    
    — Eh ben mon vieux, on peut compter sur toi…
    — Excuse-moi. On a tellement baisé qu’après on s’est endormi, et c’est la femme de chambre qui amène le petit déj’ à 9 heures à Catherine qui nous a réveillés. Elle m’a amené en voiture à l’hôtel, et après ici. J’ai bien dormi, ça va mieux.
    — Bien dormi ? Tu ne manques pas d’air, je te jure !
    
    On a bien travaillé quand même. À 17 heures, on pouvait quitter le chantier. Pour un samedi, ça suffisait largement.
    
    De retour à l’hôtel, le temps de se doucher, de se changer, j’embarquai mon Jean-Claude et je repris le chemin de la station. Vers 19 heures j’étais devant l’hôtel de Christine. Elle devait guetter mon arrivée, car elle vint de suite vers moi.
    
    — Tu viens ? On va prendre un pot au bar ; je suis avec Marlène.
    
    Marlène avait vraiment besoin d’un séjour dans cette station thermale. Brune aux cheveux courts, elle était très ronde, avec des formes généreuses et pour tout dire un peu pléthoriques. ...
    ... Heureusement, elle n’était pas petite et son visage, bien qu’un peu poupin, était très joli. Après les présentations, la conversation roula quelque temps sur des banalités, puis Christine donna le signal du départ.
    
    — Vous partez déjà ? dit Marlène, l’air un peu renfrogné.
    — Oui, on s’en va.
    — Je peux venir avec vous ?
    — Non : ce soir, c’est pas possible. Pas ce soir.
    — Arriver sans prévenir avec Marlène, c’est délicat. Mais on pourrait peut-être en parler à nos amis… proposai-je, attendri par l’air malheureux de la jeune fille.
    — Non, non, ça poserait trop de problèmes. Elle n’a pas de cavalier, et il y a une chance sur deux pour qu’elle panique ou se retrouve seule ; et dans ce cas, elle s’accroche à moi…
    — Vous allez où ce soir ?
    — Sûrement auVIP.
    — La boîte à partouze ? Vous y allez tous les deux ?
    — Non : c’est un couple d’amis qui nous invite. Alors tu vois…
    — Tu pourrais m’emmener, dis !
    — Mais je te dis qu’on est invité ; on ne peut pas arriver en disant : « Tiens, il y a une personne de plus. »
    — Mais même si je dois payer ma part ? Je ne suis jamais allée dans cette boîte. J’aurai peut-être un peu d’appréhension, mais il paraît que là-bas tu trouves toujours un mec. Et puis sinon je vais encore m’emmerder toute la soirée ici, toute seule. Tu ne me proposes jamais de venir avec toi quand c’est pour un bon coup : je suis juste bonne à servir de bouche-trou quand tu n’as rien trouvé ou quand le mec est trop tarte.
    — Tu parles… Je t’ai emmenée l’autre soir. Il a ...
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