1. Tatie Denise


    Datte: 31/07/2018, Catégories: fh, fagée, noculotte, intermast, Oral fplusag, Auteur: Jean Marcel, Source: Revebebe

    ... portait dessous.
    
    Sans autre préliminaire, et alors que j’attendais la bise à droite et pour la seconde on verrait, elle colla sa bouche sur la mienne. Surpris, je répondis, même si je n’arrivai pas à y croire : rouler un patin à une femme qui aurait pu largement être ma mère ! J’essayai de décoller ma bouche pour l’embrasser dans le cou, impossible ! Elle aspirait mes lèvres, poussait sa langue dans ma bouche, tenait ma tête à deux mains.
    
    Je réalisai que j’étais venu comme ça, sans fleurs, sans cadeau, les mains vides, mais cela ne la dérangea pas.
    
    — Viens !
    
    Ce mot, je l’aurai à mes oreilles jusqu’à mon dernier souffle. Comment une femme de cet âge (j’ai su plus tard qu’elle avait alors 76 ans, oui 76 ans passés !) pouvait-elle encore faire preuve d’autant de désir. Le désir en effet se lisait dans ses yeux. Elle me prit une main et m’amena dans une chambre, la sienne je suppose, s’assit sur le bord du lit, me regarda :
    
    — Prends-moi, j’ai envie. Je suis vieille, mais j’ai envie de toi, depuis que je t’ai vu chez Hélène, je n’arrête pas de penser à toi… Viens.
    
    C’est elle qui défit sa ceinture, se leva pour laisser choir au sol sa robe de chambre ; elle portait dessous une chemise de nuit en coton, pas du tout le modèle sexy ; elle l’ôta également offrant ses seins, bien plus gros que je n’aurais imaginé, le téton déjà pointé, ce qui m’étonna pour une femme de cet âge.
    
    Ce jour-là elle n’était pas « sans culotte », mais portait une de ces culottes ...
    ... renforcées qui soutiennent le ventre, et pas facile à enlever, je m’en souviens encore. Si elle ne m’avait pas aidé, je crois que j’y serais encore !
    
    Nue ! Elle était nue devant moi ! Assise sur le bord du lit, elle défaisait ma ceinture. J’avais enlevé ma cravate, et je quittai ma chemise quand je m’inquiétai des préservatifs : ils étaient dans ma chambre d’hôtel, planqués sous le matelas. Pas question de rapport non protégé ! Je sentais la nymphomane qui court, même à son âge, après une queue pour se faire ramoner, alors peut être que ce serait « Niet », mais de toute façon j’avais encore deux nuits à passer ici.
    
    À peine eut-elle baissé mon pantalon, que j’avais sur les genoux, qu’elle prit ma queue en bouche sans se préoccuper de la laver. Au bout de quelques allers-retours, elle la laissa et en me regardant me dit :
    
    — Alors, c’est pas mieux qu’une bouche de jeune ? Hein, les vieilles, on suce aussi bien, même mieux, tu vas voir.
    
    Et elle recommença à pomper, mes mains appuyées sur ses épaules, je n’arrivais pas à les descendre sur ses seins que je voulais mettre au creux de mes mains.
    
    Partie comme elle l’était, j’étais prêt à me laisser aller dans sa bouche, après tout elle avait l’air de faire ce qu’il faut pour ça…
    
    Elle s’arrêta d’un seul coup, me regarda, et s’allongeant sur son lit, elle prononça son mot favori :
    
    — Viens !
    
    La prendre alors, non car je n’avais pas de préservatif, lui en demander, je ne m’y voyais pas, j’aurais préféré qu’elle me « finisse ...
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