Tatie Denise
Datte: 31/07/2018,
Catégories:
fh,
fagée,
noculotte,
intermast,
Oral
fplusag,
Auteur: Jean Marcel, Source: Revebebe
... embrassé une cocotte.
Je me regardai dans une glace, effectivement le coin de ma bouche étant marqué du rouge écarlate de Tatie Denise.
Je ne parlai pas à Hélène de cette vue sur sa tante sans culotte, ce qui est rare car à cet âge, mais je ne le connaissais pas encore, les femmes se mettent quelquefois des garnitures pour les « petites fuites ». Apparemment, rien de côté-là avec Tatie Denise.
Nous avons mangé, mais tout au long du repas je ne pouvais ôter de mon esprit cette vue du sexe de Tatie Denise, ainsi que sa proposition, car c’en était une : « Je compte sur vous ! ».
Ce fut ma pire nuit avec Hélène. Je n’arrivais pas à déclencher le plaisir chez elle, quant à moi, je ne voyais que cette fente entrouverte lors de sa dernière apparition.
Le lendemain je quittais Hélène de bonne heure car il fallait que je sois très tôt chez le fournisseur pour faire les essais.
Le cœur n’y était pas, je n’arrêtais pas de penser à Denise. Petit à petit, cela s’est incrusté en moi, je le sentais : j’avais envie de la revoir. J’essayais de me raisonner, « Elle au moins 25 ans de plus que toi », « Elle était naturelle, elle ne s’exhibait pas », « Elle avait peu être oublié de mettre sa culotte »…
Mais non, j’avais le souvenir de cette main serrée dans la sienne, et de ces deux baisers sur le coin de sa bouche, car si le premier était peut être dû à une mauvaise synchronisation due au mouvement de nos têtes, le second ne laissait aucun doute ; elle avait oublié de ...
... tourner la tête pour rencontrer mes lèvres.
Et Hélène, innocente, complice ? Je m’en posais des questions.
La semaine suivante, je revins trois jours, et je passais deux nuits chez Hélène qui, soit dit en passant, (il y a prescription…) me fournissait des factures pour me faire rembourser ma chambre d’hôtel…
En mai Hélène m’annonça qu’elle partait une semaine au mois de juin en Grèce avec une amie que je connaissais, mais avec laquelle il ne s’est jamais rien passé.
C’est justement cette semaine-là où j’ai dû comme par hasard aller chez notre fournisseur pour finaliser le produit, notamment les formalités pour le dépôt du brevet. Un bon gueuleton en perspective !
C’est là que m’est revenue en tête l’invitation de Denise. Et si j’allais sonner à sa porte ?
Dans le fond je ne risquais rien, j’avais ma chambre à l’hôtel, et puis comme je l’ai dit les femmes de cet âge, c’est pas mon truc, mais la curiosité aidant…
Il était environ cinq heures lorsque je sonnai à l’interphone.
— Oui ?
— Je suis Henri, l’ami d’Hélène.
Bzzzzz… La porte était déverrouillée. L’ascenseur. La porte en face était déjà ouverte, Denise m’invita à entrer, elle s’effaça et referma la porte derrière moi.
— Oh, comme je suis contente… Tu as profité de ce qu’elle soit partie ?
Ce jour-là, je la voyais différemment, pas de maquillage, pas de rouge à lèvres, elle paraissait nettement plus décrépite. Elle avait une robe de chambre rose, serrée à la taille, et j’ignorais ce qu’elle ...