1. LE BANC


    Datte: 31/07/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Mature, Anal Auteur: Jeannot94, Source: xHamster

    ... penche en avant. Sans avoir le temps de protester, je suis prise bien à fond par l’un d’eux.
    
    Cette pénétration me semble si douce, si bonne après ce que je viens de vivre, que c’est un vrai bonheur. Je m’étonne même d’entendre ma voix dire…
    
    « Ho oui ! Baise-moi bien à fond, baise-moi fort ! »
    
    Le gamin ne se fait pas prier et comme pour acquiescer me donne une bonne claque sur le cul.
    
    L’autre, que je sens plus intimidé, a remonté mon haut et me caresse les seins avec nervosité.
    
    Un, deux, trois coups plus forts et jaillis en vague successive, un flot de foutre chaud, au fond de mon ventre. Encore quelques coups, pour bien tout mettre dedans et le garçon se retire lentement, prenant bien soin de s’essuyer sur mon anus douloureux.
    
    Je pense me relever, mais celui que je pensais timide est déjà à pied d’œuvre. Posant sa main sur mon dos, il lance.
    
    « Bouge pas salope ! »
    
    Il doit se sentir un homme après ça.
    
    D’un coup sec il disparaît à son tour dans ma chatte détrempée. Le petit con arrive à me faire jouir. Son copain est monté debout sur le banc et m’enfonce sa queue dans la bouche.
    
    « Nettoie bien, ma belle ! »
    
    Derrière moi, je sens que ça va jouir. Le sexe à des contractions, le mouvement s’accélère, puis ralenti presque à s’arrêter. Mais mon faux timide, attendant la seconde fatale, sort précipitamment son engin et me l’enfourne jusqu'à la garde dans ...
    ... l’arrière-train.
    
    Je me sens comme déchirée de nouveau et mords mes lèvres pour ne pas hurler. Il déverse sa mixture au plus profond de moi et ressort sans me ménager.
    
    Je suis clouée par la douleur et pleure doucement. Mes mains sont tétanisées d’avoir serrées le bois du banc.
    
    Je me redresse lentement.
    
    Dans le brouillard de mes yeux humides, je constate que je suis seule. Remplie des deux cotés, je n’ose plus bouger. Pourtant il le faut bien.
    
    Je m’essuie tant bien que mal avec le mouchoir qu’avait jeté mon masseur. J’ai l’impression d’en mettre plus que j’en enlève.
    
    Humiliée pour humiliée, je m’accroupis et finie de m’essuyer avec quelques feuilles du grand chêne. Une fois réajustée, je m’éloigne en direction de ma voiture.
    
    En chemin je repasse le film de cette aventure. Je me dis que après tout, je l’ai bien cherchée, et que réflexions faites j’en suis bien heureuse.
    
    Le parking est désormais plein et le soleil déjà haut.
    
    Je reprends mes clefs, en prenant soin de m’accroupir.
    
    Un peu collante, et odorante, je file chez moi.
    
    Mon homme dort encore. Une bonne douche et je viens le réveiller.
    
    « Ho la la ! J’ai mal à la tête »
    
    « Tant que c’est pas au cul. Allez lève toi maintenant ! Tu as assez gâché mon week-end comme ça »
    
    « Pourquoi ? T’aurais voulue faire quoi ? »
    
    « Je sais pas moi, un jogging !? »
    
    « Ho ! Mon cul »
    
    Décidément, je n’en sors pas. 
«1...3456»