1. LE BANC


    Datte: 31/07/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Mature, Anal Auteur: Jeannot94, Source: xHamster

    ... moins indifférente. Lorsque, impuissante à me défaire de cette étreinte, sa main passe sous mon haut, le relevant pour dévoiler mes seins, deux doigts me pénètrent sans efforts.
    
    Mes yeux se ferment et ma bouche s’entrouvre pour aspirer une grande bouffée d’oxygène. Je suis à sa merci et je me rends à ses caresses.
    
    Mes tétons sont gonflés, tout comme mon clito, près à explosé sous les délicats pincements des deux doigts joueurs. Mes reins appliquent à présent un mouvement de vas et viens sur l’énorme protubérance. Le souffle de l’homme est plus fort. Mes seins durcissent sous les attouchements de plus en plus bestiaux.
    
    « Attend ma puce. Lève-toi deux secondes »
    
    Ses deux grosses mains reprennent mes hanches pour m’aider à me soulever. Il passe l’élastique du survêtement sous ses testicules. Son dard est dressé, je le sens le long de mes cuisses.
    
    Je me laisse lentement glisser sur lui. Son gland effleure ma fente inondée, puis, me penchant un peu, je l’accepte en moi. Je descends lentement pour me remplir de sa chaleur. Voilà, je suis pleine de lui.
    
    Une vague de plaisir m’emporte et je perds toute pudeur. Je saute sur mon amant pour sentir son sexe cogner au fond de moi. Je sens ma chatte se remplir de ma mouille, lubrifiant à chaque passage l’énorme piston.
    
    « Doucement ma belle, je suis mal installé. Retire-toi que je m’avance un peu. »
    
    Légèrement contrariée par cette interruption, je me lève précipitamment. Il se glisse plus au bord, et reprend mes ...
    ... hanches à pleine main. Je vais pour réintroduire l’objet de mon plaisir, quand, dans la précipitation, je pose mon pied sur un caillou qui me fait perdre l’équilibre.
    
    Le pieu doit percevoir une résistance et pénètre l’orifice qu’on lui présente. Incontrôlable, je m’écrase de tout mon poids et pousse un cri. Une effroyable douleur déchire mon ventre.
    
    La sodomie n’est déjà pas mon truc, mais ainsi, aussi violente, je crois m’évanouir.
    
    D’un coup mes yeux s’emplissent de grosses larmes. Il me semble être tombé du paradis en enfer, d’un coup.
    
    Empalée, il me faut me relever, me libérer. Un autre cri de douleur déchire le silence. C’est affreux, insupportable. Mais l’homme me ceinture de ses bras musclés, m’interdisant tout mouvement.
    
    « Non ! Attend ! Si tu te retires maintenant, tu vas te faire très mal. Ne bouge plus et détend toi. Laisse tes chairs accepter ce corps étranger. La douleur vas diminuer, je te le promet »
    
    Il pose son menton sur mon épaule et souffle doucement à mon oreille.
    
    « Chutttttt, ça vas aller…ça vas aller…chutttttt… »
    
    Je ne bouge plus et pleure à chaudes larmes. J’ai comme un volcan en éruption en moi. Je l’écoute et tente de m’apaiser. Quelques minutes passent ainsi.
    
    « Ça vas ? »
    
    J’analyse, essaie de bouger un peu.
    
    « Oui, c’est plus supportable. Je peux me retirer maintenant ? »
    
    Deux grosses larmes ruissèlent encore sur mes joues en feu.
    
    « Non, attend, laisse faire la nature. »
    
    Et il donne un léger coup de reins. La ...
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