Une querelle qui se termine bien
Datte: 31/07/2018,
Catégories:
pénétration,
fh,
Collègues / Travail
amour,
soubrette,
noculotte,
Oral
fdanus,
fouetfesse,
mélo,
Auteur: Zébulon9275, Source: Revebebe
... SMIC au comportements égoïstes des hommes qui ne pensaient qu’à leur plaisir sexuel sans prendre leurs responsabilités (son principal problème vis à vis des hommes du fait de la fuite du futur père d’Émilie, 7 ans avant) en passant par une critique plus générale sur ma morgue à son égard, mon côté patron « bobo » paternaliste. Pour couronner le tout, elle continua en esquissant de moi un portrait très défavorable, me traitant d’arriviste prêt à tout pour arriver, d’homme cynique sans aucune empathie pour les autres et même vicieux, ayant monté sa fille contre sa mère. Heureusement que sa fille n’avait que 7 ans, sinon elle m’aurait suspecté de courir après elle !
Plus elle avançait dans son monologue, plus ses propos devenaient injustes et méchants à mon égard. C’était à se demander si ce n’était pas moi qui étais sur la sellette et non elle ! J’ai fini par exploser quand elle a lié le départ de Charlotte avec mon inaptitude à lui montrer de l’amour, étant trop imbu de ma personne et montrant des penchants de pédophilie vis à vis d’Émilie.
— Ça suffit !
Hors de moi, je me levai d’un bond, l’ai prise par le haut du bras gauche et, avant qu’elle puisse reprendre son souffle et comprendre ce que je voulais faire d’elle, je l’entraînai vers ma suite ; il n’y avait que 4 pas à faire. Elle commença alors à résister et me lança sur un ton horrifié :
— Vous allez me violer ?
Je ne lui répondis pas. De toute façon, elle ne m’aurait pas écouté car elle se débattait ...
... comme un ver au bout d’un hameçon, me donnant des coups avec ses jambes et ses pieds tout en essayant de s’écarter de moi avec sa main droite.
Je la jetai sur le lit, et c’est à ce moment là que, la mettant sur le ventre, elle comprit ce que j’allais faire.
— Non ! Non ! Je vous en prie ! Vous n’avez pas le droit !
En furie, elle tourna la tête vers moi et essaya de se relever mais je l’en empêchai en me couchant sur son dos, son bras gauche bloqué sous son corps.
— Virginie, ça suffit ; tu dépasses les limites. Puisque tu te comportes comme une petite fille, tu vas être punie comme une gamine insupportable.
Je n’en dis pas plus. Devinant que j’allais lui donner une fessée, elle essaya par tous les moyens de se redresser mais, vu mon état d’énervement, je ne la laissai pas faire et appuyai de toute mes forces sur ses épaules et son dos.
Lors de sa lutte pour s’enfuir du lit, sa robe s’était remontée au-dessus de la ceinture. Je m’aperçus ainsi qu’elle ne portait qu’un string et que ses fesses étaient comme nues, ce qui allait me faciliter le travail. Elle essaya bien, en lançant son bras droit vers l’arrière, de recouvrir ses fesses en tirant sur sa robe mais il me fut aisé de bloquer son mouvement en lui faisant une clé avec ma main gauche pour coincer son bras dans son dos.
Je passai outre à ses paroles furieuses.
— Non… non… vous n’avez pas le droit ! Je vais porter plainte…
— Tu vas te calmer ! Tu n’avais qu’à réfléchir avant.
C’est alors que je ...