1. Une querelle qui se termine bien


    Datte: 31/07/2018, Catégories: pénétration, fh, Collègues / Travail amour, soubrette, noculotte, Oral fdanus, fouetfesse, mélo, Auteur: Zébulon9275, Source: Revebebe

    ... diminution de son salaire et un travail gratuit lors de ses vacances. Je dois dire qu’elle semblait très dépitée d’avoir à montrer profil bas. Il était vital pour elle de retrouver un travail le plus rapidement possible et elle s’était mise dans la tête que la solution serait que j’oublie ce qu’elle avait fait et que, lui pardonnant, j’accepte de la reprendre.
    
    J’avais toujours apprécié Virginie car elle s’était toujours montrée très sérieuse ; elle avait toujours très bien tenu l’appartement et, chaque soir, si je devais rentrer à un horaire normal, j’avais un repas au frigo qu’il suffisait de faire réchauffer. Elle était très serviable, acceptant de travailler en tant qu’extra le soir ou le dimanche quand j’avais des repas avec des collègues ou des clients. Certes, je la payais en conséquence mais elle faisait toujours un grand effort pour que ces réceptions soient des plus réussies ; mes amis me l’enviaient. C’est d’ailleurs lors de ces réceptions que je m’étais aperçu de ses progrès en anglais et espagnol.
    
    Je n’étais, cependant, pas prêt à la reprendre de suite. Je tenais à lui faire comprendre qu’elle était adulte, donc complètement responsable de ses actes ; je commençais aussi à avoir des doutes sur sa fiabilité.
    
    — Croyez-vous réellement que je peux vous reprendre à mon service ? Vous vous conduisez comme une gamine irresponsable. Vous avez 27 ans et vous êtes mère de famille. J’attendais plus de maturité de votre part… Je ne vois pas comment je peux passer ...
    ... sur vos indélicatesses.
    
    Je la sentis très tendue ; elle avait joint ses mains pour essayer d’empêcher leurs tremblements.
    
    — Je sais que j’ai commis une faute ; je vous promets de ne plus agir ainsi… Dès que je pourrai, je vous rembourserai…
    — …
    — Je vous en prie, je n’ai que le travail chez vous de sûr… J’ai une fille.
    
    Je ne lui répondis pas de suite. J’étais tenté de la reprendre ; cela me faciliterait bien ma vie si je n’avais pas à rechercher quelqu’un d’autre ; je la connaissais et, en plus, je l’aimais bien. Je ne voulais pas cependant acquiescer trop rapidement à sa demande, même si sa mise à pied de plus de 15 jours avait dû lui mettre du plomb dans la tête.
    
    — Peut-être fallait-il y penser plus tôt… Drôle d’exemple pour une fille d’avoir une mère prête à voler sans raisons valables… ne vous étonnez pas si elle tourne mal…
    
    C’est à ce moment là que tout dérailla. Il faut dire que j’avais dit ces dernières paroles d’un ton très sec ; elle a dû penser que j’allais arrêter l’entretien et la renvoyer chez elle sans réponse positive.
    
    Elle se leva alors, se cogna à la table basse et se dirigea d’un pas pressé vers la porte puis, ayant déjà la main sur la poignée de celle-ci, elle se retourna vers moi en me fusillant de ses grands yeux noirs chargés de larmes. Elle revint en arrière et haussa le ton ; elle était hors d’elle ; ses mains tremblaient et sa voix était rauque. J’ai eu droit alors à un long monologue allant de l’esclavage des gens de maison payés au ...
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