1. Une querelle qui se termine bien


    Datte: 31/07/2018, Catégories: pénétration, fh, Collègues / Travail amour, soubrette, noculotte, Oral fdanus, fouetfesse, mélo, Auteur: Zébulon9275, Source: Revebebe

    ... une de ses grandes lèvres entre mes dents. Elle eut un sursaut mais ne dit rien et je passai à la seconde que je mordis un peu plus fort ; elle poussa un cri mais me laissa faire. Je posai alors ma bouche sur son intimité et je commençai alors à lécher, sucer, aspirer ses chairs les plus intimes tout en continuant à flatter son clitoris avec mes doigts.
    
    Virginie, tout en me massant la tête, s’était mise à gémir, l’intensité des gémissements étant liée aux actions de ma bouche sur ses grandes et petites lèvres ou sur son clitoris. Ayant senti qu’elle se raidissait un peu, j’accélérai les mouvements de ma bouche et j’attaquai sa grotte intime avec ma langue, l’insinuant le plus possible en profondeur tout en léchant les secrétions qui s’en échappaient. Le résultat ne se fit pas attendre : elle se raidit encore plus, fut prise de tremblements et poussa une série de cris de surprise mais aussi de jouissance. Elle était partie pour le nirvana.
    
    Je l’ai prise alors dans mes bras et elle vint se lover contre moi, la tête dans mon cou ; elle ne cessait pas de passer ses mains sur ma poitrine et mes cuisses. Je me suis aperçu alors qu’elle pleurait sur mon épaule, tout émue de ce qui venait de se passer. Bien qu’un peu déçu de ce que ma libido n’avait pu se libérer, je la serrai dans mes bras. Elle me jeta alors un regard langoureux plein de joie contenue et, très appliquée, commença à me caresser avec ses mains puis avec sa bouche, descendant petit à petit vers ma virilité ...
    ... triomphante.
    
    Elle s’approcha très près de ma verge pour l’ausculter et la couvrir de petits coups de langue. Je dois dire que je n’étais pas insensible à ce traitement, et je sentais venir le moment où j’allais exploser. Afin d’éviter cette fin hâtive, je la freinai dans cette découverte de mon corps et m’arrangeai pour la recoucher sous moi ; elle ouvrit alors au maximum ses cuisses.
    
    — Viens en moi… j’ai envie de toi… ne faisons qu’un…
    
    Ce furent les premières paroles prononcées au cours de ces ébats.
    
    Positionnant mon sexe face à sa fente intime je la pénétrai doucement, sans me presser, tout en la regardant dans les yeux. Elle me regarda, pupilles dilatées, un demi-sourire aux lèvres ; son émoi apparaissait sur sa figure ; elle avait pris un air sérieux et concentré. La pénétration était des plus aisées tant son sexe était humide. Je n’allais pas garder longtemps mon calme et ma douceur car mon état d’excitation m’entraînait rapidement à accélérer mes mouvements en de profonds coups de boutoir comme pour la pénétrer le plus loin possible.
    
    Virginie ne resta pas inerte sous moi ; elle accompagna mes mouvements avec son bassin, comme si elle avait peur de manquer une toute petite partie de nos contacts intimes. Je dois avouer que le silence n’était plus de mise car je grognais tout en la pénétrant avec de grands coups de boutoir ; gémissements sur tous les tons et cris divers s’exhalaient de la bouche de Virginie. Pour faire durer ces contacts intimes, je ralentissais ...
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