1. Une querelle qui se termine bien


    Datte: 31/07/2018, Catégories: pénétration, fh, Collègues / Travail amour, soubrette, noculotte, Oral fdanus, fouetfesse, mélo, Auteur: Zébulon9275, Source: Revebebe

    ... paroles.
    
    — Thomas… Thomas, reste…
    
    Je dois dire que ses baisers ne me répugnaient pas ; ses lèvres étaient si douces ! Je m’allongeai alors à ses côtés et laissai mes mains partir à la découverte de son corps. Mes doigts se glissèrent alors sur son cou, ses épaules, sous ses aisselles et le long de ses bras, puis mes mains se posèrent sur ses seins qu’elles caressèrent et malaxèrent. Elle gémissait doucement tout en palpant de ses mains mon cou et mes épaules, puis ma poitrine et mon dos en passant ses mains sous mon tee-shirt.
    
    À partir de ce moment-là je ne montrai plus aucune retenue ; je relevai complètement la partie de la couette cachant le reste de son corps et m’aperçus qu’elle était couchée sur le dos, toute nue. Je gardai une main pour jouer avec ses seins alors que l’autre partit reconnaître son ventre, ses cuisses et, surtout, son sexe. Je la caressai, la malaxai, et très rapidement une de mes mains s’installa à demeure entre ses cuisses pour caresser son pubis de poils noirs bouclés, ses grandes lèvres, mes doigts s’insinuant entre les replis de sa féminité. Elle ahana en gémissant tout en propulsant son bassin vers ma main, cuisses ouvertes.
    
    Elle ne resta pas passive car très rapidement elle me prit à la taille avec ses deux mains ; elle accrocha de chaque côté mon tee-shirt qu’elle remonta jusqu’à mes épaules pour le faire glisser au-dessus de ma tête. Une fois celui-ci enlevé, elle s’attaqua alors fébrilement à ma ceinture.
    
    Pour faciliter les ...
    ... choses, je me redressai, m’assis sur le bord du lit et enlevai pantalon et boxer pour me retrouver dans le même état qu’elle. Je dois dire qu’il était temps que je libère ma verge de toute contrainte car, déployée au maximum, elle avait atteint sa taille d’intervention et était dure comme de la pierre. Elle n’avait pas détourné ses yeux quand je m’étais débarrassé de mon pantalon ; elle semblait des plus intéressées par le spectacle et eut un grand sourire avec un mouvement d’appréciation de la tête, montrant ainsi qu’elle n’était pas insensible à ce qu’elle voyait, se montrant ainsi assez coquine.
    
    Je me recouchai alors à ses côtés ; je l’embrassai à nouveau, et ce ne fut pas un baiser passionné mais une multitude de doux baisers déposés sur ses oreilles, ses yeux, ses lèvres que je mordis légèrement pour descendre vers ses seins où je pris en bouche alternativement ses tétons gauche et droit, les suçant, les mordillant, les aspirant. Virginie, les yeux dans le vague, respirant de façon chaotique, avait saisi ma tête et n’avait de cesse de passer ses mains sur ma nuque quand elle ne s’accrochait pas à mes épaules ou mon dos en enfonçant ses ongles dans ma chair.
    
    Très rapidement, mes lèvres quittèrent ses tétons et ma bouche continua son voyage vers son nombril, puis vers son ventre. Alors je me déplaçai et m’installai à genoux entre ses jambes ; je soulevai ses fesses avec mes mains pour approcher son bassin de mes lèvres. Me prosternant presque devant elle, je pris alors ...
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