1. Une querelle qui se termine bien


    Datte: 31/07/2018, Catégories: pénétration, fh, Collègues / Travail amour, soubrette, noculotte, Oral fdanus, fouetfesse, mélo, Auteur: Zébulon9275, Source: Revebebe

    ... passant par les toilettes, je filai dans mon bureau.
    
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    Je n’en suis ressorti que vers 17 h 30 après avoir longtemps discuté avec le correspondant de Philadelphie puis celui de Singapour pour des transferts de matériels fragiles à forte valeur ajoutée de la côte Est des USA à l’Asie par le canal de Panama. Il fallait trouver les bons intermédiaires pour que les transferts se fassent dans les meilleures conditions et le plus rapidement possible.
    
    J’étais un peu vasouillard et chiffonné à la sortie de ces discussions car il n’avait pas été facile de trouver des intermédiaires proposant des prix corrects. La négociation avait été difficile.
    
    Pour me remonter le moral, j’allai m’asseoir sur la terrasse avec un verre de Chablis bien frais dans la main ; il fallait bien profiter du beau temps. C’est au moment où je passais de la cuisine à la salle de séjour puis à la terrasse que je me suis rendu compte en tournant la tête que le trousseau de clefs destiné à Virginie était toujours sur la console de l’entrée. Je me suis dit alors en moi-même qu’elle me cassait les pieds car j’allais être obligé de les lui apporter ; elle avait, certes, des excuses vu le traitement que je lui avais fait subir, mais j’allais encore perdre du temps. Il ne m’était pas du tout venu à l’esprit qu’elle aurait pu ne plus vouloir travailler chez moi !
    
    Je restai bien une demi-heure sur la terrasse quand il m’est apparu opportun de me changer pour aller traîner à Paris, et je me ...
    ... dirigeai vers ma suite. Ma salle de bain était « nickel » et avait été rangée ; il ne faisait aucun doute que Virginie était passée par là en suivant mes conseils d’ablutions. Ma surprise ne s’arrêta pas là car, allant dans ma chambre, je la vis couchée en chien de fusil sous la couette au centre de mon lit ; il n’y avait que sa tête qui dépassait entre les deux oreillers de la tête de lit, ses cheveux largement étalés en éventail sur les oreillers ; il ne faisait aucun doute qu’elle les avait lavés.
    
    Je m’approchai d’elle en évitant tout bruit intempestif ; elle dormait sur le côté, respirant calmement, bouche entrouverte. Je restai un bon moment à l’observer puis j’allai m’asseoir au bord du lit pour la regarder de plus près et l’admirer ; c’était vraiment une belle plante ! Son visage n’était plus rouge et elle semblait absolument détendue, comme si tout ce qui s’était passé avant n’avait pas eu lieu. Par moments, elle laissait filer quelques sons entre ses lèvres comme si elle était prise dans un rêve. Je réfléchis sur ce qui venait de se passer et je me demandai comment nous en étions arrivés à cela et comment nous allions dénouer la situation. Il y avait un autre problème à résoudre pour moi : elle ne me laissait pas indifférente, et elle excitait ma virilité ; j’avais de plus en plus envie de la connaître réellement en la prenant dans mes bras, en la cajolant et en lui faisant l’amour.
    
    Pensant à l’heure qui s’avançait dans l’après-midi et à sa fille Émilie, je pris ...
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