1. Une querelle qui se termine bien


    Datte: 31/07/2018, Catégories: pénétration, fh, Collègues / Travail amour, soubrette, noculotte, Oral fdanus, fouetfesse, mélo, Auteur: Zébulon9275, Source: Revebebe

    ... s’écroulait tête la première sur le lit. Elle venait d’avoir un magnifique orgasme qui se prolongea durant un certain temps. Je dois avouer que je n’étais pas resté insensible à ses réactions ; ma verge était devenue dure comme du béton, mais je n’avais rien fait pour la prendre car je ne désirais pas profiter de la situation.
    
    Dans les minutes qui suivirent, il me fut permis de l’observer : elle ne bougeait plus ; sa respiration qui durant nos jeux sexuels s’était montrée des plus anarchiques était devenue souple et régulière ; elle n’émettait plus aucun bruit. J’étais un peu gêné car nos jeux avaient dû durer 10 à 15 minutes et s’étaient passés sans qu’aucune parole n’ait été prononcée ; je n’avais aucune idée de ce qu’elle pensait.
    
    Je me relevai et me penchai sur elle :
    
    — Virginie… vous allez bien ?
    
    Elle ne me répondit pas de suite et, en moi-même, je ne savais que penser. C’est alors qu’elle releva la tête, les joues toutes rouges et tourna ses yeux larmoyants vers moi sans aucune gêne avec un demi-sourire sur les lèvres.
    
    — Merci, Thomas ! Cela fait si longtemps que cela ne m’était pas arrivé…
    
    Elle me sourit alors malgré ses larmes :
    
    — Je m’en souviendrai !
    
    Je restais coi devant ces deux déclarations car c’était la première fois qu’elle m’appelait par mon prénom alors que cela faisait 7 ans que je la côtoyais, et elle semblait avoir attendu depuis trop longtemps la satisfaction de ses sens.
    
    Elle reposa alors sa tête et je n’entendis seulement que ...
    ... sa respiration calme et adoucie. Elle s’était mise complètement au repos, tête sur le lit, bras en désordre de chaque côté de sa tête, jambes écartées avec les genoux plus ou moins pliés.
    
    Nos jeux ayant duré un certain temps, il me fallait penser à mes rendez-vous par vidéoconférence que je devais avoir à 16 h avec mes correspondants de Philadelphie et Singapour.
    
    — Virginie, je suis obligé d’aller travailler ; je m’enferme dans mon bureau. Je ne sais combien de temps vont durer mes entretiens téléphoniques, donc il se peut que je ne te revoie pas d’ici lundi. Comme je te l’ai dit, tu peux revenir travailler ici ; je te laisse un trousseau de clefs sur la console de l’entrée ; tu penses à le prendre, car lundi je ne suis pas sûr d’être là quand tu viendras. Mes consignes seront comme d’habitude sur la table de la cuisine.
    — …
    — Tu peux prendre une douche ou un bain avant de partir ; tu connais la maison, donc tu sais comment faire. Si tu as un petit creux, tu sais où trouver de quoi grignoter ; il y a ce qu’il faut au frigo ou dans les armoires de la cuisine.
    
    Elle ne dit rien, souleva sa tête et me regarda avec ses pupilles dilatées. Elle était toute rouge et ses yeux étaient gonflés, mais il n’y avait plus d’épanchement de larmes ; elle me fit un semblant de sourire en opinant de la tête et reprit sa position de détente sans rien me dire.
    
    Moi, je me levai tout en me demandant quel cours prenaient ses réflexions, et après m’être soulagé de ma libido exacerbée en ...
«12...101112...18»