1. Dans le bois derrière chez moi, il y a...


    Datte: 30/07/2018, Catégories: fh, hh, voisins, vengeance, Oral pénétratio, hsodo, confession, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... routine.
    — Une routine. Mais quelle routine ?
    — Sexuellement, je parle. On se connaît par cœur.
    
    Il s’inquiète :
    
    — Mais cela veut dire que je ne te satisfais plus ?
    
    Je le rassure :
    
    — Si, si, c’est juste que nous avons nos habitudes. Eux, et je fais un signe de la main en montrant leur chambre, ont trouvé le moyen de se renouveler.
    — Décidément, je te trouve bien délurée ce soir.
    
    Rien à faire, il fait semblant de ne pas comprendre. Mais il s’approche de moi et… s’est-il senti coupable ? Je ne sais pas, en tout cas cela a été un feu d’artifice. Il a été très attentionné, faisant passer mon plaisir avant le sien. Il m’a prise deux fois après m’avoir longuement léchée.
    
    C’était bon ! Très bon ! Mais j’entendais encore dans mes oreilles le « Qu’est-ce que tu m’as mis » adressé à son amant, Romain, et j’avais l’image de mon mari, à quatre pattes sur le banquette arrière, le cul cambré, le visage contre le cuir du siège qui se faisait enculer par une bite d’homme, une bite comme la sienne qui venait de me ramoner le cul.
    
    — Mon chéri, tu m’as comblée. Je voudrais te rendre la pareille, dis-je, alors que je sors de la table de nuit le gode-ceinture.
    
    Alors que je le fixe sur moi après l’avoir bien enduit de salive, j’ajoute :
    
    — On devrait en trouver un que l’on peut charger avec un liquide. Ça doit exister. Je pourrais le vider en toi un peu comme tu le fais, toi. Tu verrais comme c’est bon.
    
    Mon chéri l’a senti passer. J’ai commencé par l’enfiler comme ...
    ... une lopette, comme une chienne et puis je l’ai fait retourner. Pour la première fois je voyais son visage alors que je lui bourrais le cul et le branlais d’une main vigoureuse. L’évidence était sur son visage. Il aimait ça. Je le savais, car nous l’avions fait de nombreuses fois, mais de face, les traits tirés, les yeux à demi ouverts, un râle sans fin s’échappant de sa gorge et son sexe qui laissait jaillir un foutre si puissant qu’il en a reçu sur le visage.
    
    Malgré cette tentative, Gaël est resté sourd. Cela m’avait encore plus énervée, surtout que, lorsque nos voisins sont rentrés chez eux je sais qu’ils ont repris leurs jeux.
    
    Les salauds ! Le salaud ! Comment me refuser ce que lui s’accordait ? Le pire c’est que s’il m’avait proposé j’aurais probablement refusé. C’était juste pour qu’il me considère comme son égale, pas seulement une épouse, pas uniquement comme une mère, mais une femme, une femme avec ses envies, ses fantasmes. On ne cessait de parler d’égalité des sexes, de s’attaquer aux machos, violeurs, palpeurs immondes, profitant de leur supériorité pour profiter. Mon idole est une ministre du gouvernement actuel qui défend les femmes, se montre assez féminine pour qu’elle s’attire des remarques et dont on sait qu’elle a écrit des romans érotiques.
    
    Je veux me venger. Me glisser au milieu de ce trio, d’en détruire ou perturber l’harmonie. La première solution est de mettre les pieds dans le plat. Mais je choisis la seconde.
    
    Un soir, je rentre en retard ...
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