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Dans le bois derrière chez moi, il y a...
Datte: 30/07/2018, Catégories: fh, hh, voisins, vengeance, Oral pénétratio, hsodo, confession, Auteur: Faustine, Source: Revebebe
... je ne t’en veux pas. D’une certaine façon, je le savais, je le devinais. Je voyais le regard de Gaël. Je comprends que tu aies craqué pour lui. Ensuite que Romain soit entré dans le jeu, cela vous regarde. Vous êtes libertins, n’est-ce pas ? — Oui. Depuis toujours. — C’est votre choix. Et cela ne me choque pas. Ce qui me choque, c’est ce que pense mon mari de moi. Il me prend pour une oie blanche incapable d’imaginer ou pire, de fantasmer sur autre chose que nos relations à deux. — Je sais. Il me l’a dit alors que je lui proposais que Romain tente de te séduire pour que nous ayons du bon temps tous les quatre. Les hommes de sa génération sont restés sur le schéma ancien de l’épouse. Ils n’ont pas compris que les femmes évoluent aussi avec les nouvelles mœurs. — J’imagine que cela a commencé vous deux et puis que Romain s’est joint à vous. — C’est ça ! Tu nous en veux ? Que vas-tu faire ? Voilà la bonne question. Je reste longuement silencieuse. — Si tu veux, nous allons quitter ta maison. Bien entendu, nous allons aussi tout arrêter. — Je ne sais pas. Marchons. Difficile de réfléchir tellement les pensées se bousculent dans ma tête. J’avais toujours pensé que Gaël avait des aventures. Cela ne me dérangeait pas vraiment du moment qu’il me revenait toujours. Je dois même avouer que cette idée ne me déplaisait pas. Cet homme si séduisant était le mien. Jamais je n’avais eu la moindre preuve, mais d’y penser m’excitait. Je me faisais un cinéma. Je ...
... l’imaginais sortir des bras d’une maîtresse et me lançais le défi de la faire disparaître de ses pensées. Je l’accueillais en lingerie fine, voire nue, sous une robe qui était plus près de la robe de pute que de la robe d’avocate. Encore que Gaël avait toujours adoré me baiser avec cette robe. Me baiser dans les positions les plus perverses, me susurrant à l’oreille qu’il était un client et que nous baisions dans un parloir avec le risque de nous faire surprendre. Avocate d’affaires, j’utilisais très rarement une robe et encore moins de rencontres dans un parloir. Mais c’est ainsi que les fantasmes perdurent. Mon mari me prend vraiment pour une cruche. Bien sûr que je savais qu’il avait eu des aventures avec des hommes. Bien sûr que je savais pour les orgies de fin de nuit, moment où alcool et fumée font un mélange qui abolit toute retenue. C’est vrai qu’il m’a beaucoup appris. Mais je n’ai pas peur de dire qu’il avait une élève studieuse qui appréciait et n’avait pas peur de prendre des initiatives. D’accord, notre libido était un peu en berne avant l’arrivée du couple chez nous. L’isolation n’est pas le point fort de notre maison et dans le silence de la nuit, les bruits circulent. Ils circulent d’autant que leur chambre est juste au-dessus de la nôtre. Et comme ils baisent tous les soirs, la répétition a déclenché chez nous un mimétisme bien agréable. Mais le sujet n’est pas là. Il est de ce que je viens de voir. Quoi faire ? Ruer dans les brancards ? Je suis cocue ...