1. Dans le bois derrière chez moi, il y a...


    Datte: 30/07/2018, Catégories: fh, hh, voisins, vengeance, Oral pénétratio, hsodo, confession, Auteur: Faustine, Source: Revebebe

    ... vraiment. À moins que… merde, j’ai peut-être déconné ! C’est peut-être bien Romain. Ici ? Alors qu’il devrait être au tennis. Et si Gaël lui servait de couverture ?
    
    Trop tard. La bêtise est faite. Un regard en arrière me montre Abi qui me fait signe de revenir. Je suis à deux mètres de la voiture.
    
    Je suis une idiote. Je vais faire demi-tour et affirmer que ce n’est pas la voiture de Romain. Au moins, même si Abi a des doutes sur la fidélité de son mari, je ne vais pas apporter de l’eau au moulin de la discorde.
    
    — Putain. Continue. C’est bon… Oui… Comme ça… Bien à fond…
    
    C’est clair et net. C’est bien la voix de Romain. Merde, il est avec une maîtresse. Que faire ?
    
    — Oui. Oui. Encore.
    
    Je remarque que le toit ouvrant est « partiellement ouvert » et qu’il laisse passer les bruits. L’enfoiré ! Il est avec une femme. Une femme qui doit le sucer, vu le « Bien à fond » qui doit encourager la femme à le gober au mieux.
    
    Une seconde, ces quelques paroles me rappellent mon mari et nos baises. Nos baises d’avant. Avant que la lassitude ne nous éloigne.
    
    Gaël avait trop connu de filles expérimentées pour que je me limite à une sucette vite expédiée, fellation préparatoire à une possession et non pas fellation menée à son terme avec la conclusion que l’homme déverse dans la gorge de sa maîtresse sa précieuse semence. Au début, j’avais du mal. Et puis je me suis habituée, pire, au point d’apprécier de recevoir ce liquide tiède, âcre, laiteux et d’en faire un dessert ...
    ... avalé avec gourmandise. Gaël adorait, adore encore lorsque je lui fais. Il m’encourage toujours pendant que je pompe par des :
    
    — Oui, bien, encore, gobe moins bien.
    
    Et aussi par des :
    
    — T’aime ça, coquine, hein ? Bouffer ma queue ! Me pomper ! Boire mon jus.
    
    Parfois, emporté par le plaisir, il devient encore plus brutal, aussi bien en actes qu’en paroles. Alors, et cela ne me déplaît pas, il immobilise ma tête et se baise dans ma bouche en me traitant de « Cochonne, vicieuse, salope, pute ». Une fois, il nous avait enregistrés et lorsque nous avons visionné la vidéo nous avons découvert « à froid » ce que le plaisir déclenchait. Des actes et des paroles qui, regardées dans un fauteuil paraissaient presque choquants. Et pourtant c’était bien nous ! Mystère du plaisir physique et de la jouissance qui libère des conventions et de l’éducation.
    
    — Arrête ! Arrête ! Sinon je vais jouir.
    
    La voix de Romain me sort de mes pensées. Pas de doute c’est bien lui. Les vitres teintées ne me permettent pas de voir, mais une rayure sur la portière m’apporte la preuve que c’est bien sa voiture. Rayure qu’il a découverte il y a quelques jours et qui avait déclenché sa colère envers le conducteur ou le piéton indélicat.
    
    — Oui, comme ça.
    
    La voiture bouge un peu. Manifestement le couple se déplace.
    
    — Putain t’es étroite comme une pucelle. On dirait une première fois. J’adore ton cul…
    
    La suite est un grognement indistinct, de celui qu’un homme libère alors qu’il enfonce ...
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