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Le Fauteuil : Chapitre final
Datte: 30/07/2018, Catégories: fh, bizarre, Oral policier, fantastiqu, sorcelleri, fantastiq, Auteur: Rain, Source: Revebebe
... Sont-ils gros ? Petits ? Il n’en garde aucun souvenir. Puis une image de poitrine s’impose à sa mémoire. Des petits seins en forme de poire… Je les ai léchés, aspirés entre mes lèvres. Je l’ai gentiment poussée sur le fauteuil où elle s’est assise alors que mes mains déboutonnaient son jean. Thomas est soudain tiré de ses souvenirs par la petite voix qui s’écrie au fond de son crâne : Toto ! Y’a quelqu’un chez toi ! Thomas jette un œil à sa montre. Il est 9 h 08. oo00oo Bernard reste figé sur place, le visage collé à la vitre. Cela fait deux minutes qu’il contemple ce fauteuil comme s’il s’agissait d’un tableau de maître. 9 h 10. Il observe la façade et les fenêtres. Toutes sont fermées. Il se demande si c’est une bonne idée de s’être introduit chez Thomas. Il aurait peut-être mieux fait d’alerter la police. Il se hisse sur la terrasse et son regard s’attarde sur le barbecue à côté duquel pend une clé accrochée à un clou planté dans la brique réfractaire. Bernard s’empare de la clé et se rue vers la cabane de jardin pour l’essayer. Elle semble adaptée à la serrure et ouvre le cadenas. Il consulte sa montre. Il est 9 h 15. oo00oo Thomas se lève et fait deux fois le tour du bureau. Qui ? Voilà la question qui hante ses pensées et à laquelle la voix a refusé de répondre. Il quitte son travail sans prévenir qui que ce soit. Arrivé dans le parking, il grimpe dans sa BM et met le contact. Il roule à plus de quatre-vingt-dix à l’heure ...
... en ville, et lorsqu’il s’en rend compte, il appuie sur le frein pour atteindre la vitesse réglementaire. Il est furieux de rouler si lentement. Il a l’impression que tous les automobilistes font exprès de conduire comme des sagouins. Il ne se prive pas d’utiliser plusieurs fois l’avertisseur sonore et engueule une mamie qui ne traverse pas assez vite un passage piéton. Il est 9 h 20 quand l’esprit de Thomas se focalise sur Julia. J’ai fait glisser son jean le long de ses cuisses satinées. J’avais une de ces triques ! (Thomas sourit.)Elle me l’a fait remarquer et j’ai arraché sa culotte rose rehaussée de dentelles de la même couleur. Et là, j’ai enfin pu voir sa petite touffe et ses fines lèvres ! Je me suis agenouillé et me suis emparé de son intimité que j’ai d’abord effleurée du bout des lèvres. Ça avait l’air de lui plaire ! Un peu chatouilleux au début. Puis ma langue a jailli de ma bouche et a dardé de la pointe le pourtour de son abricot avant de se planter dans la moiteur de ses profondeurs. À cet instant elle a pressé sur ma tête pour que mon visage écrase son entrejambe. Je l’ai dévoré comme une bête, aspirant ses lèvres et son clitoris, lapant sa fente ruisselante, explorant son fourreau aussi loin que ma langue puisse s’y aventurer. Elle gémissait. Ses cuisses se tordaient, comprimaient ma tête, puis elle a poussé un cri aigu et ses muscles se sont décontractés. Je lui ai proposé de jouer à un jeu. oo00oo Un véritable capharnaüm règne dans la cabane ...