1. Maryse, naissance da la perversion (8)


    Datte: 30/01/2018, Catégories: fh, jardin, magasin, essayage, sexshop, telnet, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme fgode, fdanus, fsodo, totalsexe, bourge, Auteur: Lecteur, Source: Revebebe

    ... peine dans cette tenue aux forts accents SM. Pourtant elle ressent un immense plaisir à se montrer ainsi à M. Francis.
    
    Le vendeur semble très excité par la situation mais il continue de suivre les directives de M. Francis et lui présente un autre accoutrement. Il s’agit cette fois-ci d’une robe en cuir noir à lacets sur toute sa longueur. Elle retire non sans difficulté le harnais pour essayer la robe. Elle doit avouer qu’elle est magnifique même si jamais elle n’aurait imaginé en porter une. Elle enfile la robe qu’elle remonte le long de son corps. Les balconnets peinent à maintenir sa poitrine en place qui déborde légèrement ajoutant une certaine indécence à la tenue.
    
    Le vendeur commence alors à serrer les lacets de la taille. Une nouvelle fois, elle a le souffle coupé. Il lui fait perdre plusieurs centimètres de taille. Il lace ensuite le bas de la robe, emprisonnant ses fesses charnues dans le cuir. Les lacets s’inscrivent dans sa chair. L’effet est terriblement érotique. La robe révèle son corps. Les lacets ne cachent rien du sillon accueillant de ses fesses. Ses hanches et sa poitrine sont mises en valeur par sa taille resserrée. Pourtant, jamais elle ne pourra sortir habillée ainsi.
    
    M. Francis approuve une nouvelle fois. Il se lève pour mieux observer Maryse qui en éprouve une certaine fierté mêlée de honte d’être ainsi traitée. Il demande alors au vendeur de lui montrer ce qu’il a comme bottes à talons aiguilles. Le choix n’est pas large mais M. Francis ...
    ... jette son dévolu sur des bottes à lacets sur l’arrière et à talons aiguilles. Il les présente à Maryse pour qu’elle les essaie. Elle s’assoit mais ne peut les mettre toute seule à cause du corset de la robe. Le vendeur s’agenouille devant elle pour les enfiler avec force tout en jetant des regards furtifs entre ses cuisses pour essayer d’apercevoir son sexe baveux. Elle ne peut faire autrement que d’écarter les cuisses et lui offrir ainsi ses lèvres ouvertes et gonflées d’excitation.
    
    M. Francis ne reste pas insensible à la situation, son pantalon est lui aussi déformé par une généreuse érection. Il ne quitte pas des yeux la poitrine de Maryse qui ondule outrageusement au rythme des poussées du vendeur sur les bottes. Les bottes arrivent sous les genoux de Maryse. Une fois les lacets serrés, elle se lève pour faire quelques pas. Les talons sont dangereusement hauts mais elle a acquis une assurance certaine ces derniers temps. Ces bottes complètent parfaitement sa robe. Elle se fait l’effet de l’une de ces reines de la nuit et du plaisir.
    
    M. Francis semble satisfait et demande au vendeur le prix de ces deux articles. La somme paraît astronomique à Maryse mais il ne semble pas s’en soucier et les accepte. Elle commence à vouloir se dévêtir mais de nouveau, d’un simple geste de la tête, il lui fait comprendre qu’elle doit rester ainsi. Une bouffée de chaleur l’envahit, elle panique. Mais elle ne peut rien y faire, elle est obligée de se résoudre à sortir habillée dans cette ...
«12...789...13»