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Maryse, naissance da la perversion (8)
Datte: 30/01/2018, Catégories: fh, jardin, magasin, essayage, sexshop, telnet, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme fgode, fdanus, fsodo, totalsexe, bourge, Auteur: Lecteur, Source: Revebebe
... caresse pour réveiller la libido de son mari ou pour son propre plaisir. Ses pensées deviennent confuses. Elle soulève son haut pour libérer sa poitrine opulente qui retombe lourdement. Ses tétons se tendent et sont terriblement sensibles. Elle les pince, elle tire dessus en se mordant la lèvre pour ne pas laisser échapper ses gémissements. Elle redescend sa main droite vers son intimité, elle n’est pas surprise de sentir l’humidité de son sexe. Elle caresse son clitoris en alternant les effleurements et les caresses plus appuyées. De son autre main, elle continue à serrer son sein, à le pétrir, à le presser. Elle sent son plaisir monter rapidement, sa main quitte précipitamment son sein pour venir pénétrer d’un puis de deux doigts son sexe trempé. Elle sent son point G, elle presse ses deux doigts dessus tout en continuant d’exciter son clitoris en érection. La jouissance la traverse avec violence. Elle ne crie pas, ses lèvres sont scellées dans un rictus de plaisir, son corps est raidi au maximum. Elle relâche doucement ses muscles tout en se tenant au chambranle de la porte. Elle réalise avec tristesse que son mari s’est endormi sans même la voir. La déception est immense pour Maryse qui souhaitait essayer de partager de nouvelles expériences. Elle est maintenant persuadée qu’elle ne pourra jamais vivre ces moments d’excitation intense avec son mari. Peut-être espérait-elle vivre tout cela avec lui pour ne plus avoir à le tromper, à lui mentir mais il ne possède pas la ...
... bestialité et la perversité de M. Francis. Cette révélation lui fait peur. Il faudrait qu’elle arrête tout cela pour ne pas sombrer définitivement dans la perversité et la luxure. Elle est déjà allée tellement loin dans ses expériences qu’elle pourrait y mettre un terme. L’éventualité est rapidement repoussée. Presque avec horreur, elle réalise qu’elle est accro à ces sensations… au sexe. Le reste du week-end se passe lentement, elle ne pense qu’à une chose : rejoindre son amant. Elle apprend le lundi qu’elle doit de nouveau partir en déplacement à partir de mercredi. Elle se réjouit à cette idée. Une fois dans son bureau, elle envoie un mail à M. Francis pour le prévenir. Quelque temps après, il lui répond qu’il pourra se libérer mais qu’elle devra suivre les instructions suivantes : — Tu passeras me chercher à la déchetterie mercredi après-midi. Tu viendras en tenue très sexy, quelque chose de très court et des talons aiguilles. Attends-toi à ce que je te défonce ton petit cul de salope ! Donc pas de culotte. Le langage très cru de M. Francis devrait la choquer mais bien au contraire. Elle ressent une décharge d’adrénaline et une bouffée de chaleur au moment où elle le lit. Elle sent son sexe s’humidifier sous l’excitation que provoquent ces quelques mots. La journée se passe sans autre message de la part de M. Francis. Le soir, elle annonce son nouveau déplacement. Son mari n’y réagit pas. Elle voudrait le secouer, le frapper pour qu’il la voit mais elle se dit ...