1. Maryse, naissance da la perversion (8)


    Datte: 30/01/2018, Catégories: fh, jardin, magasin, essayage, sexshop, telnet, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme fgode, fdanus, fsodo, totalsexe, bourge, Auteur: Lecteur, Source: Revebebe

    ... femme bourgeoise appréhende la suite des événements alors que l’autre partie de sa personnalité dépravée en demande toujours plus.
    
    Ils arrivent à l’hôtel à une heure assez tardive, pourtant Maryse peut voir qu’il y a encore du passage. Elle est autant effrayée qu’excitée à l’idée d’affronter le regard de ces inconnus. Elle n’a pourtant pas le choix, elle rassemble son courage et descend de voiture. Elle essaie de se mettre dans la peau de cette femme fatale sûre de ses charmes et de sa sexualité. Elle y parvient presque mais tout s’effondre quand elle se retrouve devant l’hôtelier qui manque de s’étouffer en la voyant. Il retrouve un semblant de dignité et demande le nom de la réservation en les regardant l’un après l’autre et en s’attardant sur la générosité du décolleté de Maryse.
    
    M. Francis ne fait rien pour aider Maryse qui essaie aussi de retrouver une certaine contenance. Elle donne son nom d’une voix timide mais se voit obligée de le répéter plus fort pour que l’hôtelier réagisse. Il leur donne enfin leur clé en leur indiquant le numéro de chambre et l’étage. Elle la prend et se hâte vers l’escalier alors que M. Francis la suit avec les deux valises. Elle n’a pas besoin de se retourner pour savoir que l’hôtelier lui reluque impunément les fesses mises en valeur et révélées par le laçage de sa robe de cuir noir. Dans sa hâte pour ouvrir la porte de leur chambre, elle fait tomber les clés. Elle s’accroupit pour les ramasser et remarque l’imposante bosse qui déforme ...
    ... le pantalon de M. Francis.
    
    Il la regarde de toute sa hauteur en frottant négligemment le paquet que forment ses bourses. Elle rougit de l’effet qu’elle produit sur lui et de sa vulgarité. Elle en a honte mais elle salive à l’idée de sucer ce membre dressé pour elle. Elle s’engouffre dans la chambre, elle a du mal à respirer. Elle ne sait que faire. Elle attend figée que M. Francis lui dise quoi faire. Il pose les valises à l’entrée. Puis il sort son ordinateur qu’il branche ainsi qu’une webcam. Il la tourne vers elle. Elle est tétanisée. Il va de nouveau l’offrir en pâture à des internautes surexcités. Cette fois il lui dit qu’il va vendre ses charmes au plus offrant. Elle a tout d’abord du mal à comprendre ce qu’il veut dire. Il lui explique alors qu’elle devra offrir un « spectacle » à celui qui acceptera de payer pour en voir plus. D’une voix froide et autoritaire, il lui intime l’ordre d’exciter ses clients.
    
    Une pointe glaciale lui traverse le cœur. Elle est offerte comme une prostituée à ces internautes. Elle doit les exciter pour qu’ils payent pour ses charmes. Une partie de son être crie, refuse, se révolte contre cette idée mais cette voix est impuissante face à l’excitation qu’elle ressent. Et lentement, comme dans le square, elle commence à bouger langoureusement en prenant des poses suggestives. Elle s’abandonne de nouveau devant l’objectif alors qu’il lui fait part des commentaires les plus vulgaires.
    
    Tout à coup, il lui dit qu’elle a son premier client. ...