1. Histoires d'un mari cocu, larbin, et heureux (22)


    Datte: 28/07/2018, Catégories: Trash, Auteur: auplaisirdetous, Source: Xstory

    ... pris la main et l’a fait tourner sur elle-même.
    
    — Mmmmmmm, vraiment superbe.
    
    J’ai vu sa main se poser sur le cul de Valentine et l’empoigner. Et elle de se cambrer en gémissant à son tour. Puis ils se sont embrassés, comme deux amoureux, elle se collait à lui, leurs mains parcouraient le corps de l’autre. Ils se parlaient à voix basse, ils riaient, ils s’embrassaient, se caressaient, ça a duré de longues minutes. Puis Théo l’a entraînée sur le canapé. Ils se sont assis collés l’un à l’autre. Et se sont roulés de nouvelles pelles. Puis Théo m’a regardé, en slip, à 4 pattes au milieu du salon.
    
    — Et bien qu’attends-tu ? Allez, au pied !
    
    Comme un bon chien je me suis approché jusqu’au pied du canapé. Valentine était collée à lui, une jambe sur lui, son escarpin pendant au-dessus de moi. Elle accentuait l’excitation qu’elle savait que cela suscitait en moi, en faisant du dangling. Elle m’a regardé en souriant :
    
    — Tu en as envie ?
    
    — Oui Princesse.
    
    — Sers-moi une coupe d’abord.
    
    Je me suis levé et suis allé lui chercher du champagne que je lui ai rapporté. Ils s’embrassaient tendrement. Elle n’avait pas changé de position, je me suis remis à ma place, le nez tout près de son escarpin. Elle m’a regardé sans rien dire, elle me faisait mariner. Puis sa voix m’a libéré.
    
    — Lèche, allez.
    
    Je me suis exécuté. Je léchais son escarpin, pendant qu’elle embrassait son amant. Le pied. Elle bougeait son pied juste pour me faire le suivre du visage, parfois sa ...
    ... semelle me mettait des petites gifles sur le visage.
    
    — Oublie pas le talon !
    
    Je l’ai pris en bouche, ils me regardaient tous les deux.
    
    — Applique-toi, ne l’abîme pas avec tes dents !
    
    — C’est qu’il suce bien dis donc, ah ah.
    
    Ils ont ri.
    
    — En parlant de sucer, ça fait longtemps...
    
    — Oui, depuis ce matin c’est long en effet.
    
    Ils se sont embrassés de nouveau et la main de Valentine est venue le caresser à travers son jean. Ils prenaient leur temps, ils savouraient l’instant, leur langue jouait l’une avec l’autre. Puis Valentine lui a ôté sa chemise, lentement toujours, puis léché et embrassé le torse. Il était vraiment bien foutu, le corps très bien dessiné. De nouveaux bisous. Puis elle a posé la main sur sa ceinture.
    
    — Attends ma belle.
    
    Il s’est levé. J’ai dû arrêter de lécher l’escarpin.
    
    — Enlève mon jean.
    
    Je l’ai regardé, sans bouger.
    
    — Je vais devoir te le redire combien de fois ?
    
    — Euh, non non, pardon mon Roi.
    
    J’ai commencé à déboutonner sa ceinture du bout des doigts.
    
    — Allez, dépêche-toi.
    
    — Oui Monsieur.
    
    — Et me touche pas la bite, je sais que tu en as envie.
    
    J’ai ouvert le jean et l’ai baissé sur ses chevilles, son boxer était plein. Il bandait à moitié, elle était déjà bien grosse. Il m’a fait lui retirer ses chaussures et chaussettes et son jean entièrement. Puis baisser son boxer, sa queue a jailli et a frôlé mon visage, j’ai eu un mouvement de recul.
    
    — Eh eh, n’aie pas peur !
    
    Il était debout au-dessus de moi, ...