1. Histoires d'un mari cocu, larbin, et heureux (22)


    Datte: 28/07/2018, Catégories: Trash, Auteur: auplaisirdetous, Source: Xstory

    Théo m’a fait lui préparer une petite valise. C’était le week-end de l’ascension, on était mercredi après-midi, il prévoyait en effet que l’on passe les 4 ou 5 jours qui venaient, ensemble. Puis on a pris la route. Il s’est installé à l’arrière de la voiture. En chemin il m’a dit :
    
    — Arrête-toi à une pharmacie.
    
    — Bien Mon Roi.
    
    On s’est arrêté à la pharmacie à côté de chez nous, où j’ai l’habitude d’aller. Je pensais attendre Théo dans la voiture, mais il m’a ordonné de me garer et de l’accompagner. C’est une jeune femme que je connaissais qui nous servait.
    
    — Bonjour. Il nous faudrait des préservatifs.
    
    — Oui, bien sûr.
    
    Elle nous a montré le rayon. Théo lui a demandé :
    
    — Pourriez-vous nous conseiller ?
    
    La pharmacienne est venue près de nous.
    
    — Bon, déjà, il nous faut une très grande taille.
    
    — D’accord. Et vous avez des préférences ?
    
    Et là Théo m’a montré qu’en effet, il n’y aurait pas vraiment de limites. Il s’est tourné vers moi.
    
    — Dis-moi Mat, ta fiancée a des préférences ? Elle aime quoi comme goût ?
    
    — Euh... je ne sais pas trop.
    
    — Mmmm pas étonnant, il est vraiment temps qu’un vrai mâle s’en occupe.
    
    La pharmacienne rougissait. Puis se reprit :
    
    — Je peux peut-être me permettre ?
    
    — Oui bien sûr mademoiselle, avec plaisir.
    
    — Celles-ci sont agréables.
    
    Elle a montré une boite à Théo.
    
    — On va en prendre deux boites.
    
    — Il vous faudra autre chose ?
    
    — Non c’est tout bon. Tu paies Mat.
    
    J’ai payé sous le regard ...
    ... apeuré de la pharmacienne. Théo lui a dit au revoir et l’a remerciée pour ses conseils, en souriant. Alors que je lui tenais la porte ouverte :
    
    — Vous me direz si j’ai été de bons conseils ?
    
    — Avec plaisir !
    
    On est repartis. Je me mis au volant et réalisai que je bandais, cette situation m’avait excité. Je me dis qu’au moins il prévoyait de la baiser avec capotes.
    
    On est arrivés en bas de l’immeuble. Je lui tenais les portes. J’ai ouvert la porte de l’appartement. Dans la voiture, il avait envoyé un SMS à Valentine, pour lui dire d’attendre dans la chambre quand on arrivait. On est allé au salon, il s’est assis dans un canapé. Il m’a fait lui servir un scotch, puis m’a demandé de me mettre en slip et à genoux à ses pieds. Impression de déjà-vu. Puis il m’a dit :
    
    — J’ai changé d’avis, va me chercher Valentine, tu la suivras à quatre pattes. En attendant que l’on reçoive ta laisse et ton collier, on va devoir te faire confiance !
    
    — Bien Maître.
    
    Je suis allé à quatre pattes dans la chambre. On est revenus au salon tous les deux, Valentine marchait lentement, roulant des hanches savamment, je la suivais. Elle s’est arrêtée au milieu du salon, j’étais à ses pieds. Théo la regardait. Il a juste acquiescé d’un gémissement.
    
    — Je te plais mon chéri ?
    
    — Mmmm, oui beaucoup.
    
    Il a dit ça en se levant. Lentement, il prenait son temps. Il s’est avancé vers nous. En contre-plongée, il était encore plus magnifiquement impressionnant. Il s’est planté devant elle, lui a ...
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