1. Mes secrets de famille (2)


    Datte: 27/07/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: 0.livia, Source: Xstory

    ... avouer que ce petit plaisir narcissique qui m’excite énormément.
    
    Alors je lui suggérais subtilement de devenir vulgaire, de me traiter comme il se doit, avec les mots que j’appréciai.
    
    Il finit enfin par se désinhiber entièrement :
    
    Il m’avoua que depuis longtemps il me désirait, qu’il a toujours eu un faible pour les futures mamans.
    
    — Tu es trop bandante Olivia. J’ai trop envie de te baisser ma petite sa...! Finit-il par lâcher.
    
    — Alors, qu’est-ce que tu attends pour venir te vider les couilles en moi ? Prends-moi violemment par-derrière comme une petite chienne, gémis-je.
    
    Il me retourna brusquement puis me plaqua alors sur le lit. Il souleva ma nuisette et arracha mon string. Je me cambrai pour lui offrir une magnifique vue sur ma petite fente juteuse entièrement épilée. Tonton Jacques me prit avec par les hanches et enfonça profondément sa poutre bien dure, d’un coup de bassin. Il commença à me ramoner virilement en grognant tel un animal. Il se déchaîna sans gêne, car ma chambre était bien isolée et éloignée des autres : personne ne pouvait nous entendre.
    
    — Tu es vraiment bonne, sale chienne... prends ça dans ta petite chatte, soupira-t-il en tirant mes cheveux, tout en me culbutant frénétiquement.
    
    Le lit trembla et grinça à chaque charge ce porc sauvage.
    
    — Oh, continue de me bourrer comme ça... Après toutes ces années d’attente, défoule-toi sur moi ! M’écriais-je
    
    Il redoubla d’efforts et s’agrippa à mes seins, tout en continuant à me ...
    ... prendre par-derrière. Il grogna de plus en plus fort et de plus en plus vite.
    
    — Oui, vas-y ! Couinai-je. Souille-moi... Remplis-moi de foutre !
    
    Le quinquagénaire me tira encore plus fortement les cheveux. Il me donna trois puissants coups de reins, avant de se décharger d’une quantité généreuse de semence. Il fit encore quelques va-et-vient pour évacuer les dernières gouttes. L’accouplement était bref, mais intense. J’étais au bord de l’orgasme au moment où je sentis sa crème brûlante fourrer mon minou. Mais, Jacques n’eut plus la force de limer mon intérieur. Il s’affala sur moi, avant de m’embrasser à pleine langue. Il était toujours emboîté en moi.
    
    — Eh bien, tu avais une grosse envie tonton... rigolai-je, après son étreinte.
    
    — Il faut dire que tes magnifiques seins avaient bien entamé le boulot, se défendit-il. Tu as aimé ?
    
    — Hum... oui, mais, j’ai encore envie de me faire démonter, murmurai-je en me retirant.
    
    Sa semence s’écoula le long de ma cuisse. Je la recueillis du bout des doigts.
    
    — Viens que je te nettoie la queue, susurrai-je en me délectant de son foutre.
    
    — Attends un peu ma belle... dit-il à bout de souffle.
    
    — Certaines femmes ont des envies de fraise quand elles sont en cloque. Moi, j’ai une terrible envie de sperme... confessai-je pour l’exciter.
    
    — Petite coquine, lança-t-il avec un sourire pervers.
    
    — C’est moi qui te donne une telle trique ou le fait que je sois enceinte ?
    
    — Hum... un peu des deux je dois avouer. Tu ressembles ...