Mes secrets de famille (2) - Histoires de Sexe

Mes secrets de famille (2)

Jacques passa le reste de l’après-midi et le début de soirée à m’éviter. Je voulus me débarrasser de ma grosse envie avec mon conjoint. Mais celui-ci semblait trop occupé pour s’occuper de moi. Je pris mon mal en patience, en observant de loin tonton Jacques. Il prenait plaisir à renifler mon odeur imprégnée sur ses doigts. Et moi, je me sentis satisfaite chaque fois qu’il le faisait. Il me confia plus tard qu’il eut à chaque fois la trique après avoir humé mon jus. Au dîner, il usa de subterfuges pour s’asseoir à l’opposé de moi. Pour tenter de dissiper son malaise, il but énormément au cours du repas. Mon mec me quitta quelque temps après pour sa soirée avec ses amis. Avant d’aller dans la chambre d’amis qui m’était réservée, je demandai à tata Dominique :

— Tu peux demander à tonton de monter ? J’ai la tirette de mon sac qui est coincée.

J’attendais patiemment, sur le lit, en petite nuisette. Je crus que Jacques n’allait jamais venir. Il entra alors que je commençais à bâiller.

— Coucou Olivia, alors montre-moi ce que je dois réparer ? Se précipita Jacques.

Il s’approcha en titubant. Il était à vrai dire un peu bourré. Je sautai sur l’occasion pour y aller franco. Je lui pris la main pour la poser sur mon sein et l’embrassai tendrement avec un petit baiser sur la bouche.

— Non, ce n’est pas bien Olivia, arrête... tu me déçois, je ne pensais pas que tu étais une...

— Petite coquine ? Coupai-je. J’admets que j’adore le sexe... ça te déplaît ? ...

... Continuai-je en caressant son sexe à travers son pantalon.

Il essaya de bredouiller quelque chose qui ressemblait à une vague contestation.

— En tout cas, ta grosse matraque a l’air d’apprécier, poursuivis-je.

— Mais voyons Olivia, tu es enceinte ! S’énerva-t-il.

— Je suis une vilaine fille, tonton, que veux-tu... dis-je avec une petite voix innocente. Tu ne m’aimes plus parce que j’ai un gros bidon ? Continuai-je en resserrant mes bras le long de mon corps pour mettre encore plus en valeur ma poitrine généreuse.

— Non, bien au contraire Olivia, tu es encore plus ban... Belle... Lâcha-t-il tandis que son sexe devint dur comme fer.

Je sortis alors habilement son sexe de son pantalon pour le branler lentement.

Jacques afficha désormais un sourire pervers. J’augmentai alors le rythme de la masturbation à mesure que sa queue grossissait. Avant de poursuivre :

— Alors comme ça, tu aimes les femmes enceintes ?

Il hocha la tête.

— Alors dis-le que tu me trouves bandante, continuai-je d’une voix coquine.

Je me mis ensuite à genoux et sortis mes seins à l’air en abaissant le décolleté de ma nuisette. Je lui prodiguai une branlette espagnole. Sa queue était bien logée au chaud entre mes deux obus.

— Je sais que tu as fantasmé sur moi toute la journée... allez dis-le tonton, s’il te plaît... j’ai besoin de savoir, demandai-je en le regardant droit dans les yeux tout en continuant ma besogne.

Je voulais davantage d’éloges et avec des mots plus crus. Je dois ...