1. Allo Doctor Fellatio


    Datte: 27/07/2018, Catégories: fh, Oral confession, filmx, Auteur: Zahi, Source: Revebebe

    ... redresser à nouveau. Dans un brin de folie, une« Irresistible Impulse », j’ai voulu me la taper, cette Sherry, tout de suite et devant tout le monde. Une pipe c’était bien, mais j’aurais voulu aussi l’embrasser dans sa bouche de déesse, malaxer de mes propres mains, son corps à la fois ferme et moelleux, découvrir enfin sa chatte mouillé, m’en asperger jusqu’à la lie, et puis la défoncer, oui la défoncer, simplement, comme tout homme occupe une femme. Cela s’appelle faire l’amour. J’allais même tendre une main sur son sein encore enduit d’une légère couche de ma semence lorsque Tom nous a rejoints :
    
    — Ok Fak, Ok Sherry, please harry up, the next is waiting.
    
    Je me suis rhabillé et Sherry a couru dans l’autre pièce où, selon ce que j’avais compris, elle devait se doucher et se refaire une beauté. Elle avait certainement d’autres scènes à faire pour le fameux« Allo Doctor Fellatio » ce jour-là, la pauvre. En sortant, j’ai fait la bise à Helen et à Kate qui m’a remis mon enveloppe. J’ai failli l’ouvrir et compter le pognon comme devant le caissier d’une banque, car les mecs comme Tom ne m’inspiraient généralement pas une grande confiance, mais je m’étais abstenu par respect des merveilleuses créatures qui se dressaient devant moi. Alors que j’étais un pied dedans et un pied dehors, j’ai appelé Helen qui, avec la fraîcheur des ses dix huit ans, s’est précipitée avec un grand sourire d’ange. Je lui ai alors demandé son numéro de téléphone en chuchotant dans son oreille, et ...
    ... sans aucune hésitation, je dirais même avec un grand plaisir, elle me l’a donné en chuchotant également dans mon oreille. Dès que j’ai entendu la porte se fermer derrière moi je l’ai enregistré sur mon mobile.
    
    --oooOOOOooo--
    
    Sur le chemin du retour, tout enveloppé par les tintements stridents, irréguliers et vraiment chiants du métro de New York, j’ai réfléchi un peu à ce que je venais de vivre. D’un côté je m’étais dit que c’était une expérience agréable et utile, avec à la fin un peu de ce pognon dont j’avais vraiment besoin. Moralement, j’étais arrivé à la confortable conclusion que je n’avais rien à me reprocher. Mais d’un autre côté, j’étais envahi par la désagréable pensée que j’avais mis les pieds dans un monde interlope duquel j’allais avoir du mal à sortir. L’argent facile, trop facile même, conjugué avec un plaisir intense et instantané. N’allais-je pas m’enliser petit à petit et me laisser ensevelir doucettement dans une machine infernale, de la même manière qu’un mec simple et normal s’enfonce dans la drogue ou dans l’alcool.
    
    J’ai vu défiler devant moi des images embrouillées et réentrantes de plusieurs extraits de films et de documentaires sur les milieux de la prostitution et du porno, généralement associés à la violence, à la drogue, à la dépendance, où cela se termine généralement mal, dans un hosto pour désintoxication ou dans une prison morne et surchargée où les simples et honnêtes comme moi se font exploser au propre et au figuré par des caïds ...