1. Allo Doctor Fellatio


    Datte: 27/07/2018, Catégories: fh, Oral confession, filmx, Auteur: Zahi, Source: Revebebe

    ... comme si elle me promettait quelque chose de grandiose, ou qu’elle me défiait. Ses mains toujours bien serrées à sa base, ma queue s’est présentée droite devant elle, à dix centimètres de sa bouche. Elle a craché sur elle à quatre ou cinq reprises, des grands crachats chauds et visqueux, avec le son chevrotant et sec qui va avec. Le liquide a dégouliné de haut en bas ; elle l’a alors recueilli et à l’aide de sa main, l’a fait remonter le long de la tige, l’enduisant en entier de cette substance qui en d’autres occasions, m’aurait paru bien dégoûtante, mais qui en ce moment précis était chaude et envoûtante. Après quelques coups de branlette, de plus en plus rapides et serrées, elle a sorti sa grande langue palpitante et l’a amenée se poser sur la peau fine et tendue à l’éclatement du gland. Les mouvements de la main continuaient toujours, sans cesse.
    
    Puis soudain, avec cette faculté qu’a Sherry de rendre ses gestes imprévisibles, elle a retiré ses mains et a englouti dans un geste rapide et précis le maximum de mon sexe dans sa bouche. J’ai senti le bout de ma queue buter sur son palais et se tenir dans un couloir dur et serré. Remarquant qu’il lui restait encore quelques centimètres à avaler, elle a retenu son souffle et a poussé sa gorge en avant, engloutissant ce qui restait de mon engin centimètre par centimètre, jusqu’à ce que ses lèvres soient venues chatouiller mes bourses. Elle était alors complètement concentrée sur son sujet, elle ne me regardait plus. Il me ...
    ... semble même qu’elle avait fermé les yeux.
    
    C’était la première fois qu’une nana arrivait à me faire cela, je ne pensais pas que c’était possible. Généralement elles étouffaient déjà à la moitié et s’excusaient de ne pas pouvoir aller plus loin. Une fois une petite de la fac avait même rendu ce qu’elle avait dans le ventre lorsque j’avais buté sur son palais. Mais Sherry, cette fameuse Sherry que je ne suis pas prêt d’oublier, s’est maintenue ainsi de longues secondes, émettant un son étouffé, un genre de gargarisme qui partait du plus profond de sa trachée et se mourait petit à petit le long de sa gorge et dans sa bouche. C’était moi qui n’en pouvait plus de la pression mortelle qu’elle m’exerçait. Heureusement, elle a fini par retirer sa bouche avant que j’aille crier au secours. Elle a respiré un grand coup, puis elle est revenue pour tout reprendre de nouveau, avec la même force et le même appétit. Mais toujours, et j’avais enfin compris que c’était une règle chez elle, elle allait jusqu’au bout, jusqu’à l’extrême rupture, comme si elle se déplaçait sur une gouttière au dernier étage d’un immeuble parisien et qu’elle arrivait toujours à maintenir son équilibre et à s’arrêter là où il fallait et quand il le fallait.
    
    Après quelques minutes de gorge profonde, Sherry a repris ses mouvements alternés, mais cette fois avec plus de force et de profondeur. Sa gorge enfin bien dilatée, elle engloutissait le tout à chaque coup, et en sortant, elle reprenait dans la foulée des ...
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